• Brel : Amsterdam lors de l’Olympia 64. Imparable. La chair de poule ultime.
  • « Candy Pop », par Heartsdale feat. Sould’ Out. Son calibré de bonheur d’été, le genre où on lève le doigt bêtement dans la rue en sifflotant quelques bribes du flow improbablement chaloupé de Diggy Mo’.
  • Akira Yamaoka, habitué à faire des musiques de blip et blop pour jeux vidéo, dans une de ces tracks d’un album perso. Une espèce de radicalisme flottant visant sans doute les soirées house.
  • Niagara, « Quand la ville dort ». Oh tu ris mais Niagara ce n’était pas une bombe qui minaudait des hits de l’été. En réécoutant un de leurs albums, on ne peut que se rendre à l’évidence, ils furent l’honneur de la chanson française des années 80, enchaînant des tubes incroyables, jovialement mais aves sérieux. Une retro-claque.