Pursuit of Happyness
Will Smith joue ce qu’il fait de mieux, le gars cool, en toute circonstance, même quand un pigeon mort s’écrase sur ses pompes. Tiré d’une histoire vraie, c’est un gus qui n’enveut mais, malchanceux chronique, il passe le plus clair de son temps à courir après ce qu’on peut appeler les emmerdes du destin. Il se retrouve avec son môme, seul, et la spirale l’entraînera jusqu’à se clochardiser, tout en suivant ses concours, s’accrochant, encore et toujours. Mais tel le club de l’économie, Will est un winner, il s’en sort, et rentre dans une bonne grosse société qui brasse des mi’llions, avec stock options et golden parachute. Une belle fable moderne. Tu seras trader, mon fils.
Print article | This entry was posted by Kamui on 09/07/2007 at 14:02, and is filed under Cinématographe. Follow any responses to this post through RSS 2.0. You can leave a response or trackback from your own site. |
about 15 years ago
Pas d’illus’ ?
j’avais raté le film, faudrait que je me le fasse un de ces quatre.