Knowing
Une prédiction (le titre français) : «Si vous connaissiez la date de l’apocalypse, que feriez-vous ? ». C’est l’accroche du film, bien en gros sur l’affiche, évocatrice à la fois de conspi, de dianétique et de Bernard Werber, bref trois handicaps insurmontables. Pire, ce qu’on sait donc grâce à cette affiche n’arrive, dans le film, qu’après s’être farci 1h40 de Nicolas Cage, l’homme à la mine de cocker triste. Quelle grave erreur de timing. Et les 10 dernières minutes, le big reveal final, entre dans la notorious liste des fins qui vous font hausser les sourcils de désespoir. Même la jolie Rose Byrne et les deux trois bonnes scènes (pas forcément les plus tape à l’œil) ne peuvent rien sauver. Alex Proyas, devenu un yesman sans intérêt à l’image de Fincher, réussit à produire ce qu’on croyait impossible, un sous-« signs », lui-même déjà passablement un sous-film.
Print article | This entry was posted by Kamui on 26/04/2009 at 20:24, and is filed under Cinématographe. Follow any responses to this post through RSS 2.0. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed. |
about 14 years ago
pas d’accord sur tout, mais l’imagerie est très bonne
about 14 years ago
Ce commentaire est si peu argumenté, j’ai cru que c’était un spam qui t’arrive parfois en faisant “Tt à fait d’accord a+.”^^
As far as i’m concerned, c’est un étron puissance 10.
about 14 years ago
j’ai tellement la flemme de me répendre dans un débat de film que je le fais pas là. D’autant que j’ai aucune envie de défendre ce film que je trouve tout juste moyen.
Enfin, 3eme raison, c’est bien plus drôle dans la vraie vie.