C’est depuis la naissance du phénomène, soit quinze (15 !!) ans que je ne m’étais pas autant penché sur le cas Pokémon. Comme beaucoup, à un moment ou un autre, tu en reviens. C’est comme les autocollants Panini, c’est la génération suivante qui prend le relais. Et puis, en tant que sujet, ça ne s’est jamais vraiment renouvelé, et en tout cas, ça se renouvelle moins que mes autres obsessions et marottes que sont la politique, la corniche dans les jeux vidéo ou encore la représentation du coup de pied sauté dans l’histoire du cinéma (et tu peux me croire que si je tombe sur ce sujet à Questions pour un Champion, j’fais du quatre à la suite).

Pokémon, ouaaah l’aut“, on l’a tous entendu, pour ce sujet ou un autre, avec ce même ton satisfait du mec se sentant arrivé à un autre level. Je suis certain que ce genre de type pense que le Petit Prince est un bouquin pour les mômes. Mais Pokémon, de son côté, n’a pas arrangé les choses avec son reboot permanent, tous les 4,5 ans, façon Link qui va découvrir son épée pour la première fois parmi les 56 autres. Tadadada.

Heureusement, le millésime 2K10, Black & White se la joue caïd, avec son lot de nouveautés classieuses. . Ils sont presque allés jusqu’à foutre des ninjas Pokémon. Mais les personnages, on les verra dans la dernière partie. Car maintenant, la problématique, c’est “pourquoi Pokémon est redevenu cool”, en 3 actes.

Et le premier, c’est un test long mais assez Airwolf

Je ne suis pas certain de te faire changer d’avis. À la fin, ça restera peut-être qu’un truc de mômes pour toi (ça l’est de toute manière). Pas certain non plus que tu apprécies autant que les couvertures politiques de Direct Matin. Mais au moins tu vas te marrer.

Acte 2 et Acte 3, même bat-chaîne, même bat-heure.