Kamui
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Posts by Kamui
Fan-Art 2
Oct 12th
Une autre peinture fan-art, just for the fun of it, mais où je voulais essayer des trucs à la gouache. Oui, il est à poil.
Fan-Art 1
Oct 11th
Du fan-art d’il y a un mois… Il est assez relaxant de dessiner/peindre quelque chose, sans vraiment avoir un but, just for the fun of it.
Nef
Oct 7th
Le happening “art moderne” de cette année ne sera sans doute pas la FIAC, mais la réouverture temporaire de la nef du Grand Palais. A coup de miroirs, d’ampoules, sur fond de musique envoûtante, cet événement très limité dans le temps a sans doute été “l’instant collectif Zen” le plus significatif qui ait été donné de vivre à Paris. Chacun, le nez en l’air venait y chercher quelque chose de différent. Tous étaient un peu perdus dans ces sphères de métal énormes, comme une espèce d’osmose futile unissait les spectateurs. Vraiment déboussolant…
Escalicans
Sep 26th
Vu la semaine dernière: Dans la série “robots du quotidien”, celui-là est assez fascinant. Ses chenilles se mettent en action dans les escaliers pour monter sans effort les marches, le tout sur fond de bruit de moteur. Génial !^^
Blood & Bones
Sep 13th
Dans la collection film glauque, Blood & Bones aurait décroché la pole position s’il ne sombrait pas dans un déluge affreux de violence. Tout repose en fait sur les épaules d’un acteur ô combien charismatique, Takeshi Kitano, dans le rôle d’un coréen qui part vivre au Japon il y a une bonne soixantaine d’année. Et pendant tout le film, il se donnera toutes les peines du monde à se montrer odieux. Dès sa première scène, il viole sa femme. Ce n’est que le début car pas mal d’autres suivront. Ils les tabassent aussi. Ses gosses aussi. Et puis d’autres gens. Il est ignoble avec ses employés aussi. La totale de la panoplie de raclure de bidet. Les bastons sont incroyablement violentes, pas dans le sens Ong Bakien du terme mais simplement parce que les coups sont portés, sans retenue. Assez inouï dans le genre. Ca n’a pas l’air d’être du cinéma tellement c’est réalisé cash et plein cadre. C’est justement là que ça cloche. La puissance de l’évocation, ne serait-ce que pour les viols, est bien plus puissantes que ces scènes affreuses répétés à chaque fois, façon Irréversible. Blood & Bones est un peu un Frères (ou plutôt le père) Karmasov sans but, sans réel propos si ce n’est sa violence caricaturale assommante, la saga d’un mec haïssable dont la vie traverse une des période politiquement les plus troubles de l’histoire du Japon.
(le layout de l’illustration (A4) m’est venue dans le metro, puis l’idée d’appliquer les couleurs directement dessus, sans changer, a fait son chemin entre deux stations)
Com-Robot