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Season of the Witch / Le dernier des templiers
Jan 25th
Nicolas Cage est devenu un “truc” Robotics. Un peu comme les comics ou les actionneurs, Kamui Robotics se doit désormais de t’offrir une info fiable sur la filmo de Nick Cage. Soit. J’aurai pu me contenter de foutre un lien vers la vidéo “Nick Cage goes nuts” ou “loses his shit” que tu connais forcément. Mais je suis tombé sur une série de portraits du gonz. Et normalement, tu vas comprendre tout de suite ce qui fait l’attrait de sa dernière aventure.
Allez, parce que j’ai envie de te faire vibrer…
Après nous avoir ébloui dans “Nicolas Cage en chapeau” ou encore “Nick Cage sous crack embrasse une meuf probablement une pute en braquant son mec en même temps alors qu’il est flic“, voici Nicolas Cage, cheveux long et gras. Ou en V.O “Season of the Witch”. Ou “Le dernier des templiers” en français, même si le mot templier n’est jamais prononcé une seule fois dans le film. Mais hé, whatever, les mecs, comme le film. D’ailleurs je risque de parler aussi de différents plot twists car ouais y’a un plot. Spoiler Alert donc.
Cage et le mec qui joue Hellboy sont des chevaliers objecteurs de conscience durant les croisades. Arrêtés en chemin, ils sont contraints d’aider un prêtre et un chevalier d’escorter une fille, présumé sorcière. Et en général, si tu es cinéphile de qualité, tu sais que ce genre d’argument signifie une fille à poil à un moment de l’histoire. La prétendue sorcière en question a sans doute été choisie pour son petit air de “la meuf de Twilight”. Attention, ça devient subtil : à la fin, une fois arrivé dans le château final où doit avoir lieu le procès en sorcellerie, la fille s’échappe. Ce n’est pas une sorcière, en fait elle est habitée par un démon venu de l’enfer mais qui ne dirige pas le FMI, bien déterminé à cramer un bouquin magique, dernier rempart d’un monde libre à économie de marché. Une question m’est venue : si le démon a pris une hôte terrienne mais qu’il pouvait à tout moment sortir de sa cage, s’envoler et détruire un château entier, POURQUOI DIABLE A-T-IL EU BESOIN DE NICOLAS CAGE POUR L’ESCORTER ?! Il aurait très bien pu voler jusqu’au château final et le cramer jusqu’au dernier rocher. Et voilà, le livre magique est détruit. Ca n’a pas de sens. C’est un démon.
Souvent, tu te demande si Nick y croit ou s’il bascule dans le mode “Berserk” du programme qui le contrôle et qui lui donne cet air triste et pénétré. Car il faut y croire à ces armées en CG qui ont au moins la politesse de ne pas obliger à porter des lunettes 3D nulles. Season of the Witch ne recule devant aucun effet toc, mélangeant Indy, la Momie, les magiciens et les cheveux gras de Prince of Persia sans état d’âme. Faut les voir se démener pour essayer de combler les vides d’un scénario qui n’y croit pas lui-même, même pas suffisamment drôle pour être classable en nanard réjouissant comme Ghost Rider. Citer Ghost Rider comme une référence, il y a encore 4 ans, tout le monde aurait dit que c’était impossible. Ron Perlman est quand même bon et puis argument ultime :
Il y a Nick Cage avec un casque.
Allez, soyons sérieux.
The Fountain
Feb 12th
Un jour, un gars en cours de dessin a proposé au prof un dessin au crayon, un travail qui lui tenait à cœur. Genre son papa récemment décédé qui donnait à manger aux poules. Ce n’était pas très bon, même pas du tout, il pensait que c’était superbe. (Pour l’anecdote, c’était un de ces profs militaires, pour qui le démontage fait partie de l’éducation normale, du coup, le pauv’ gus en avait les larmes aux yeux).
Fountain propose une histoire d’amour pompeuse, réalisée comme un halo de lumière ressemblant à un screen-saver époque post-matrix, avec du symbolisme à la con pour que la sauce prenne. A vouloir faire dans la grandeur, on fait souvent dans le pompeux, malgré de bons acteurs et quelques idées pas idiotes. Mais Hugh Jackman qui fait le bouddha dans un nirvana raëllien du temple solaire, on est way over the top du ridicule. Aronofsky se viande complètement et se ménage grâce à sa fontaine une bonne place en tête des jeunes tocards suffisamment mouleux pour s’être trouvé là au bon moment pour un film happening et qui se donne ensuite des idées de profondeur (Singer, Finch etc). Affligeant comme un gars qui ne comprends l’importance des romans que dans les quatrième de couverture.
(2006)
La jeune fille et l’eau
Oct 13th
Tout a déjà été dit sur La jeune Fille et l’eau. Nanar cosmique, ridicule filmé avec aplomb, suicide artistique, tout. Des mots cruels qui font qu’inévitablement, 2 ou 3 poseurs le trouveront même sympathique voire même brillant, soit par nullité, soit par panache démesuré dans le Grand-Guignol. N.M.S. va au bout de son délirium installé par ses précédents films, une espèce d’autisme illogique qui ne rime plus à rien cinématographiquement. Mais plus que la stupidité de sa croute, ce qui rend triste, c’est la certitude. Oui, le film suinte de ce contentement de soi, un peu comme quand Lelouch vous parle du génie de ses dernières merdes, un cinéma « certes trop touffu, et qui nécessite d’être vu plusieurs fois »,(je le cite). La certitude artistique, c’est admirable quand elle croise la courbe du génie. N.M.S, on a la certitude sans rien avoir derrière, il développe son petit système habituels, ses effets entendus, et là, il va jusqu’au bout, en se donnant même le rôle de sauveur de l’humanité. Rien que ça. Tragique.
A défaut de trouver un sujet à dessiner, j’ai choisis de rendre hommage à mon camarade de banquette ciné, qui, effaré devant autant de conneries, se cachait sous son pull. Ses mots ont été “peut-être le pire que j’ai vu au ciné de ma vie”.
Da Vinci Code
Jun 23rd
Déçu. Je suis déçu. Vraiment. J’espérais vraiment que l’espèce de tornade de ventes d’un polar mystico-bullshitique soit un bon gros nanar. Mais il n’a pas la flamme du mec qui croit en ce qu’il fait (Ron Howard, fidèle à lui-même, qui réalise son film avec un bouquin de type « la réalisation pour les nuls »). Attention, je ne parle pas de l’idée même de jouer avec la religion qui est en fait plutôt divertissant en soit. Y’a même pas lieu à crier à l’arnaque tant qu’on ne croit pas à ces foutaises, sinon les Chevaliers du Zodiaque deviendraient la plus grosse escroquerie du XXeme siècle, loin devant les Mystérieuses Cités d’Or. C’est réalisé à la truelle, c’est joué n’importe comment (la palme revient à Gandalf / Magneto qui nous ferait presque croire à la fin qu’il a des éclairs qui lui sortent des mains). Jean Reno est admirable de faiblesse, Audrey Totou fait visiblement ce qu’elle peut. Mais l’histoire, bon dieu, c’est juste ennuyeux. Y’a un ventre mou phénoménal dans le film, où l’on rêve que ça s’arrête. Jezus, tenir plus de deux heures avec une espèce de cluedo avec le regard lunaire de Tom Hanks qui joue comme dans une comédie des Frères Cohen. Entre les courses poursuites en Twingo, le moine ninja envoyé par l’opus dei (rires) pour tuer les descendants des chevaliers protégeant le graal (qui compte parmi leurs membres éminents Leonard de Vinci, Newton et Mitterrand), on se retrouve avec un rire refoulé, pas vraiment le même qu’avec gorge déployée et mâchoire endolorie. Pas suffisament naze pour être plaisant, et pourtant, dieu que c’est stupide par moment. Déception.
Inside Man
Jun 16th
Inside man est le prototype de film qui se croit intelligent. Hop, un méchant qui a profité du génocide, des gentils comme zorro, des alterjusticiers, un keum en turban pour bien faire comprendre que y’a du racisme, un passage obligé sur la violence des jeux vidéo (avec images hardcore bricolée pour l’occasion). On a tout déjà vu des milliards de fois, mais tous traités mieux que ça, parce qu’ici, tout vous est enfourné dans le gosier de manière vulgos et lourde. Si en plus, on ajoute les acteurs qui cabotinent à tout va, et des dialogues à la wanagen fatiguant, on comprendra aisément qu’Inside Man est un film de daube « à messages » (=> qui se prend pas pour de la merde). Horripilant.
Adieu Pignon, Adieu comédie Française
Apr 14th
Adieu cinéma comique français. On t’a tant aimé, et maintenant tu n’es plus. Fuuip. De part ce texte, je vous propose une minute de silence, une minute de pensée pour ce genre, disparu trop tôt. Passé 20 ans, il est considéré comme mort, c’est ça ? En fait plus que le cinéma comique français, c’est le cinéma français tout entier qui est frappé par un mal : la laideur. Oh ce n’est pas un problème de caméra, ou de filmer à la DV. Non le problème est plus profond que ça. Pour cela, il faut prendre un film repère. Ici j’ai choisis « Comme une image » de Jaoui. Après le sublime goût des autres, est venu ce film. Laid. Les gens y sont gris et ternes. On rit, mais on rit méchamment, devant les vacheries que les protagonistes se balancent. Plus c’est vexant, et plus ca marche. Gros succès (logique), cet espèce de ton moche, cette peinture du Paris un peu caricatural « de la haute ». Du cynisme. On fait difficilement rire avec un tel parti pris, à moins d’être ultra talentueux. Après Comme une Image s’est construit récemment cette trinité :
Les bronzés 3, qu’on ne présente plus. Faut-il en reparler plus longuement (cherchez Bronzés dans le moteur de recherche ou la nouvelle table des matières). Non drôle à son paroxysme (dommage pour une comédie), on y voit des millionnaires cachetonner avec un cynisme inouï. Pas une vanne drôle, ils sont là pour la thune. Ils ne se donnent même pas le mal. Et surtout, il joue sur la nostalgie du temps passé. Dieu que c’est laid. Maintenant passons au « Fauteuil d’orchestre ».
Deuxième film choisis pour incarner la trinité de la laideur cinématographique. Et le plus compliqué. Danielle Thomson avait gagné (pour moi) ses galons grâce à la Buche. Sensible, pas con, et surtout pas « girly ». Il n’y a rien de plus horripilant que le « Girly ». Mais alors dans Fauteuil d’orchestre, on retombe dedans, mais dans le mille. Ca parle de l’avenue Montaigne, d’un Paris même plus bourgeois, mais richissime. Tout commence (et se termine) par la citation : « je n’ai pas pu être artiste, alors je suis devenue leur dame pipi ». Eh oui. Sauf que maintenant elle croupit dans sa maison de retraite. Du coup, elle a surement conseillé à sa petite fille, Cécile de France de suivre le même destin. Elle, c’est une provinciale concon (pour bien vous le faire comprendre, elle se dandine comme Pibolo le robot ridicule dorée de Bioman (oulalala). Elle débarque à Paris donc, en tenue jean et cartable kickers fluo et ne prendra jamais la peine de se changer. Faut la comprendre, elle est simple. La bonne sauvage. Le rêve, elle va faire serveuse dans un bar où traînent les pipeuls de ce petit monde gerbant. Dialogues atroces… mais ATROCE. On voit défiler une galerie de « portrait » comme on dit. Ca oscille du très bon Albert Dupontel qui se donne un mal fou à nous faire ressentir son mal de vivre avec Laura (ahh) Morante. Et putain chacun y va de son petit laïus « je suis vieux, fiston, vis ta vie à fond », « ah, n’être qu’une actrice de sitcom, trop dur » nous fait la diva, « je veux être pianiste pour des petits enfants dans des hôpitaux, pas pour ces gens de la haute ». Et l’autre ? Oh bah rien, elle fait venir sa mamie de Macon pour voir une pièce de théâtre. Sa petite lui paye une nuit au Ritz. Elle est heureuse, elle qui a toujours été dame pipi là-bas, et vu passer toutes ces stars, tout comme l’ouvreuse/gardienne, artiste contrarié, qui se vante de son œuvre peut-être la plus créative : avoir taillé une pipe à Bécaud. Ou je sais plus qui, peu importe. Un film hideux. LAID !
Voilà qui va nous permettre d’aborder la troisième croute consacrée à cette trinité de la laideur cinématographique : LA DOUBLURE. Rien que le titre tout est dit : la vie par procuration. Cyrano sans la poésie, hein. Mais bon c’est Veber là, aux manettes. Vous savez le mec qu’on nous vend comme le grand maitre jedi de l’humour, l’artisan de la vanne millimétré, mastermind du calibrage de la pignolade. A chaque sortie, on a droit aux éternels « Alors, c’est pas dur de tourner 45 fois la même scène ? Quand même ! –oh bah non Francis sait ce qu’il veut et le texte est si bon, si ciselé que blablabla ». Donc là, on attend de la gaudriole qui tue. De l’humour à se pisser par terre. Et pour être franc, malgré sa moralité douteuse j’ai bien aimé Diner de Cons. Donc là, Francis, you’ve got to deliver ! On n’est plus dans une production Michael Youn (putain mais choisis mieux tes films, vieux !). Pignon est dame pipi au Ritz… eu non voiturier de riches pour un restau au Troca. Déjà, voilà, on replace le contexte de la non-lutte des classes. Il est amoureux d’une nana, la girl next door. Banale mais gentille. Elle est la « pas belle », la sans intérêt de l’histoire. Elle est jouée par Virginie Ledoyen….. ARGH ! Transportez moi dans ce monde, pitié ! (notez bien que le concept de Girl next door est similaire aux usa. Pour Hollywood, Sandra Bullock est une average girl). Il la demande en mariage, super naif, façon y’a que la vérité qui compte. Elle le remballe. Râteau cosmique. Dépité, il se casse, mais se retrouve par hasard sur une photo, celle d’un riche pdg (Auteuil dans son PIRE rôle, il a le même regard débile que Jugnot dans les Bronzés 3 quand il fait gnééé en essayant d’étrangler son fils) et de sa maitresse (Alice Taglioni, bombastik imparable, voir les chevaliers du ciel ou mensonges trahisons). Le riche paye Pignon (quasi rien, juste de quoi refiler de la thune à Virginie qui l’a rembarré) et cède au chantage de sa belle (20 millions). Ils devront vivre ensemble. Et faire croire qu’ils sont un couple, pour que la femme d’Auteuil n’ait pas de soupçons (elle possède la majorité de la boite, Auteuil a besoin de temps pour préparer financièrement un divorce à son avantage, genre il n’y pense que maintenant). Voici la base donc. Vaudeville classique, mais avec la puissance Gad Pignon en plus. Alors, la maitresse, elle a beau être belle à tomber, Pignon est idiot. No sex. Y’a un pelotage de sein. Voyez-vous, il est simplet. En plus il a demandé si peu d’argent. Ensuite, autre message important : LA FEMME EST VEINALE. Virginie l’éconduit, et depuis qu’il a une meuf mannequin, hop d’un coup elle s’intéresse à lui. L’autre demande 20 millions d’E. La moralité du film est calamiteuse ! C’est encore une fois « les riches ont beau être riche, mais ils ont aussi des problèmes de cœurs », une misogynie inhérente dans tous ses personnages femmes (je sais hein, don’t get me started avec Danielle Thomson). Ah oui, Gad est non drôle, il joue un peu le regard vide, perdu et récite un peu son texte comme une des meufs de Besson (les non-francaises). Les seuls qui s’en sortent bien c’est Richard Berry qui se balade dans le cynisme, et Danny Boon, oui Danny Boon, qui est plutôt convaincant dans son rôle improbable d’ami looser. Et Alice qui arrive mine de rien à être un peu touchante malgré un script encore une fois atroce pour les meufs (voir le placard, qui joue aussi sur des ressorts terriblement réac). Moche. Con. Laid.
Voilà, c’était la trilogie française de l’humour de ce début d’année mais il résume bien la question. Et encore, on n’est pas rentré dans des cas comme Incontrôlable ou les trucs mou du genou comme Kad & O ou l’intégralité de la filmo Eric & Ramzi post-tour Montparnasse infernale. Alors quoi, on en est réduit à faire le concours du film le moins drôle ? Dans ce cas, je vous propose le Bouddha de la comédie française la moins drôle du monde : 18 ans après. Il faut se forcer. Limite s’attacher au fauteuil devant un objet aussi hideux. Coline Serrault. Et c’est sans doute le pire des cas, quand c’est de la merde qui se croit fine et intelligente. C’est surtout ça le problème. Un ami me disait “par principe, je ne paye pas pour rire”. Dans ce cas, il devrait y avoir dédommagements !
Edit : Et bizarrement, Jean-Philippe est pas mal. But that’s another story.
Edit² : et sans surprise, Enfermé dehors est assez intéressant, formellement aussi bien que son contenu. Coming soon. Terminer sur une note positive, c’est important.
Les Bronzés 3
Feb 15th
Deux drames de l’humour français en un mois: la mort de Darry Cowl et les Bronzés 3. Ce n’est jamais bon signe, la mort de Max Pecas fut suivie aussitôt après de la sortie de la Beuze. Le cinéma français a décidément un problème avec l’humour. Il s’est fait racheter par quelqu’un, et depuis, toutes les comédies rivalisent pour être la plus naze possible. Le raid, Agents Double Zero avec Eric et Ramzi, Valérie Lemercier qui se prend au sérieux, Ma Femme s’appelle Maurice, les Wish (ou les Ouiches ? enfin qu’importe, on s’en fout), toute la filmo des Robins des Bois (et même leurs films non comiques) et bientôt “Incontrôlable” avec Michael Youn qui fait n’importe quoi (il a des impôts à payer ?). Le pire, c’est sans doute cette vague de comédies “sérieuses”, route tracée par toute la carrière de Coline Serreau ou encore des films à la noix comme “Mariages”. Argh rien que d’y repenser, la chair de poule de cosmique que ça me fait. Seule réussite récente, l’hilarant Angel-A de Luc Besson, nanar risible à peine sorti. Très franchement, y a-t-il eu un film français franchement drôle depuis la Tour Montparnasse Infernale (et, dans une autre dimension du prisme du bon goût, Taxi the trilogy) ?
Voilà donc 2X ans après, “les Bronzés”. Mais comme disait Mickey à Rocky III: “Il t’est arrivé de pire de ce qu’il pouvait arriver à un boxeur… Tu t’es embourgeoisé!”. C’est ça que l’on voit, des multimillionnaires venus toucher le jackpot mais qui ont oublié de faire un film drôle au passage. Très sérieusement (j’y suis allé avec une équipe de copains grand public), on ne rit pas dans ce film. Enfin si, une fois… quand Jugnot qui joue le mongolien (hihi le mec des Choristes fait le mongolito, oui on est faible) et qu’il casse des biscottes de caviar en pleine crise d’hystérie. Cette crise, elle a été provoqué par son fils qui lui avoue son homosexualité de la manière la moins crédible qui soit… Mais voilà, je vous dis ça, mais il n’y a pas vraiment d’histoire. Alors pourquoi vous parler de Lhermitte qui joue presque à contrecoeur (putain, pour 3 M d’€, j’y foutrais au moins le sourire) ou de Blanc qui en fait des tonnes (toujours non drôle)… Le seul qui à la rigueur s’en sort, c’est bizarrement Clavier… Il s’est au moins dit “je vais faire plaisir à mes fans, je vais assurer le show”… et fait donc du Clavier… Mais au moins il fait autre chose que cachetonner. Voilà, si vous voulez du film vraiment drôle, c’est Angel-A.
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