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Comics euuu de euuu Mars avec du Captain America mort dedans

Retrouvé ça sur un bout de fichier… Ca date de Mars, ça peut donc être notoirement caduque. Mais bon, dive !

Xmen 196

Le mutant cruel qui absorbe les pouvoirs (plus de 300 dans son catalogue printemps-été), qu’on appellera Sylar a capturé Rogue et veut ajouter son ADN à sa collec. Ou un truc comme ça, mais de toute manière cela implique de la torture avec des piqures. Les x-men sont tout feu tout flamme dans un all action issue, pas déplaisant et même un peu inventif à la fin. Mais bon dieu, quel cast de n’importe quoi.

Daredevil 94

Après le retour improbable de Murdock à Hell’s Kitchen, spotlight sur Milla, son épouse, ou on ne sait plus. Elle déprime, la pauvre, et étant aveugle, elle ne peut profiter de « Plus belle la vie » qu’en mode audio. Un excellent numéro sur la dépression au sein d’un couple, l’année qui suit ne sera pas de tout repos pour DD.

The Authority 2

Après le numéro 1 le plus entubatoire du cosmos, voici enfin, 5 mois après le numéro 2. Quoiqu’il arrive, ce relaunch du Wildstorm verse est un fiasco. Même Gene Ha n’est pas au top de sa forme et fait des dessins un peu creux à la Cassaday, qu’un bienveillant coloriste essayera tant bien que mal de rendre cohérent avec une bonne couche de layer photoshop. Les dialogues ne sont même pas très bon pour du Morisson qui nous fait le coup des « personnages de bd passé dans le monde réel ». Yaaaawn. Au moins la série ne coutera pas cher à suivre.

Fantastic Four The End 6

Alors évidemment, c’est un the End heureux, pas le genre où Sue meurt tuée par un train qui lui passe dessus sous les yeux de son mari. Non, on est dans la cosmo happy end, où on revit le combat du premier volume. Et les splash pages d’Alan Davis, oulalalala. Quel bonheur, avec tous pleins de personnages ressortis des limbes, juste le temps d’un caméo. Visuellement, le comics de Super Héros classique aura du mal à aller plus loin. Il n’y a vraiment que le format qui a compromis la lecture de ce fun ride. Bientôt, une plus ample critique.

Action Comics 846

La suite de cette adaptation très libre de « l’hypothétique fils de Superman » se poursuit, avec du retard. La faute à Donner ? A Kubert Jr ? En tout cas, ça reste joli et surtout parfaitement lisible par un newbie. On est presque dans un All Stars Superman, en plus libéral. Le plus Silver age Superman du moment, quelle bonne période pour le perso…

Uncanny X-Men 484 (par 10 of 12)

Et là, on commence à être sérieusement lassé : une baston, qui n’est pas la dernière, suivi de blabla sur le trône des Shi’ars. Wow, ça n’intéressait personne, la cour royale Shi’ar, mais là sur 10 numéros, on peut imaginer que tout le monde en a pour son compte. Honnêtement, on s’en fout maintenant. Ca n’a plus d’intérêt. Vraiment. Qu’ils s’entretuent, tous.

X Factor 16

Le meilleur X title du moment reprend du poil de la bête, avec MAdrox qui part à la recherche d’un de ces duplicatas, qu’il découvrira… sarkoziste ! non quand même pas. Mais homme d’église, avec un gosse et tout. Cas de conscience : doit-il laisser courir ou réabsorber son lui-même. Et je sais que cette phrase paraitra bizarre pour toute personne qui ne connaît pas Madrox.

Wolverine 51.

Logan continue son combat contre Sabertooth, baston que « promis juré, celle là, elle va super compter, ce n’est pas de la rigolade, ce coup ci, c’est le clash façon NTM ». 2 numéros que ça dure. Ennui.

D’airain Aventure magasin comique 1

Un omnibus concept d’Ashley Wood. Don’t ask, just enjoy.

Flash 9

Une nouvelle chance après le relaunch le plus naze du cosmos (avec Wonder Woman. D’ailleurs, le num 5 n’a rien à voir avec l’histoire en cours… qu’est-ce qu’ils foutent ?)

Civil War Frontline, le dernier. Ouf.

Les journaleux vont voir les leaders des deux camps. La fille, au ton putassier qu’on appellera Fogiel, balance à Captain America que c’est un ringard, parce qu’il ne connaît pas le gagnant de la Starac, qu’il ne va pas sur Youtube et qu’il n’est probablement pas inscrit sur Meetic. Le soldat ultime des états unis se tait, cassé par cette attaque hallucinante. Merci encore à Jenkins le briton de nous expliquer ce qu’est un américain. Des raccourcis dignes d’un rap de Diam’s (« ma France à moi rigole sur du Djamel, va à Footlocker, prends des Mc Chicken au petit dej’ et écoute Skyrock »). Ils vont ensuite voir Iron Man pour lui dire qu’ils savent tout de son coup foireux, de ses magouilles pour aller plus vite au conflit et qu’en journalistes courageux et inflexibles… n’en diront rien au public. Illogique, aberrant et nul. Du comics pour le feu.

Thunderbolt 112

Ellis s’amuse avec son équipe de branquignole. On est en plein dans l’injustice league of Marvel, c’est très souvent immoral et on se demande comment ça tient debout. Le problème de Thunderbolt post Civil War, c’est que c’est une équipe qui n’a sa raison d’être que par son pitch : des méchants que le gouvernement utilise comme milice pour arrêter les rebelles. Voilà, ça ne va pas plus loin. Du long terme ? Une perspective ? Vous repasserez dans 3 mois. Remarque, ce genre de promesses suffisent peut-être à certains. Excalibur, après tout, n’a de raison d’être que dans son pitch : une équipe en Angleterre, point. Le dessin de Deodato oscille entre passable et horripilant (si Osborn n’avait pas sa coupe, il serait méconnaissable).

Captain America 25

Captain America est mort, abattu par un tireur d’élite, mais aussi par 3 balles logées dans le buffet. C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Il meurt avant que le docteur Green ait réussi à l’emmener au bloc et à bipper Carter. La surprise, c’est que l’exécution est pas mal, vu que Bru essaye surtout de se focaliser sur l’émotion ressenti par les potes du Captain. Autant il existe 4 à 5 manières différentes de le ramener (coucou Daredevil), autant il est préférable que ce soit Bru et pas un autre qui soit en charge de nous faire vivre ça. Ceci étant, Cap est mort il n’y a pas si longtemps (N°50 volume 3), donc on espère que le show sera intéressant, le plan étant de le garder un peu mort le temps qu’ils complotent un scénario. Mais voilà, Cap est mort. Il avait qu’à s’ouvrir son Myspace pour écouter du bon son qu’il aurait foutu sur son Ipod pour aller à des rave-party. Quel ringard ce cap.

Civil War The Confession

Sorte de double épilogue à Civil War. Ou Triple avec Frontline. On met dans des stand alone, tout ce qu’on a oublié de foutre dans la série. Non, ce n’est pas pour faire de l’argent. Dans la collection entubage, Bendis s’essaye à une écriture stylisé, genre on ne sait pas à qui Iron Man parle. Puis après, hop on rebascule dans le passé. Ce n’est pas follement bien écrit mais surtout il manque quelque chose : une once d’intérêt, une réponse que les lecteurs sont en droit d’attendre avec tout ces stand alone qui se succèdent. Mais rien, on n’apprend que dalle. Pour montrer le niveau, la dernière page flashback, c’est Iron Man qui dit à Cap qu’il est mauvais perdant, et l’autre répond tu m’étonnes. 2,99$, même dessiné par Maleev, c’est cher payé. Un comics nul qui ne laisse rien présager de bon à propos de la saga de 5 stand alone issues « Fallen Son » orchestré par Loeb. Un petit format prestige n’aurait pas suffi ? Y’avait besoin d’autant de place ? On a vraiment des doutes quand on lit les comics Marvel de type The Return ou The Confession, si plat, rempli par du rien vendu pour l’équivalent du Pib du Darfour. Nul, et sans appel.

Civil War The Initiative

Wow Marc Silvestri, l’idole de mon adolescence sur une histoire haut de gamme de Marvel… Non attends voir… Deux scénaristes ? Et ouais, Bendis se charge du côté Avengers et Ellis des Thunderbolts. Tiens donc. Du coup, Initiative est donc un recueil publicitaire. Reed Richards interroge Michael le facteur (l’interminable pouvoir Xorn venu du cosmos et qui a banané Alpha Flight). Il est coupable de rien, mais pourtant Reed, d’une froideur stalinienne, lui promet à demi mot que ça va être chaud le ramassage de savonnettes dans la taule où il se trouve. Mais en fait non, hop, voilà Sasquatch qui a survécu à ce fiasco. En deux pages, toc toc on t’introduit Omega Flight, hop on a un spin off. Pof, on bascule sur Thunderbolts, encore en mission de chasse Ces pages de présentations sont sympas… mais ça fait quand même 3 mois que Thunderbolts a été relaunché. Mais c’est sympa quand même, les gars. On fini sur une brève entre Spider Woman et Carol Danvers qui sert à introduire l’histoire du new avengers en ce moment dans les bacs. Suivent ensuite des pubs, des pubs, des pubs, et pourquoi donc ? Pour tout les autres titres estampillé the initiative. Qu’on a peut-être déjà acheté d’ailleurs, vu le retard à l’allumage. 4,99$ !! C’est un brave New World (le truc là qu’on peut acheter le prix d’une baguette de pain, mais 4 fois plus reuch ! Pour zéro info, zero charme, rien. Une arnaque sans nom.

The new Avengers continue leur escapade au japon pour sauver Echo. Petit flashback informatif, mais surtout présentation vite fait du pourquoi ils sont là. Vite fait hein, on ne sait toujours pas pourquoi Doctor Strange a choisi courageusement son camp APRES la guerre. C’est rudement bien dessiné, très stylisé par le Yu, mais on a la désagréable impression que tous les personnages, vaguement out of character, parlent tous avec la même voix, les mêmes vannes. Mais ça sera pire avec Mighty Avengers.

Mighty Avengers 1

Quelle bonne idée de confier un autre titre Marvel à Bendis, ça permet vraiment d’avoir une autre vision de l’équipe. Non mais quelle idée… Mais admettons. Ici, Iron Man et Ms Marvel discutaillent et font des vannes. De la manière dont il écrit son Iron Man, on n’a pas l’impression que cela soit le même que dans Civil War, son propre titre ou même dans The Confession. Ils montent son équipe dans la déconne. Et alors, gros moment de branlette de Bendis, Iron Man et Ms Marvel parlent plusieurs fois du côté indispensable d’avoir un Wolverine (une idée de Bendis), un Luke Cage (une idée de Bendis), de la magie de l’alchimie et de l’efficacité de l’équipe précédente (de qui déjà ? Ah oui de Bendis, une équipe qui au final en 3 ans aura fait quoi ? Se sera retrouvé à poil dans Savage Land, aura affronté un facteur qui a absorbé les pouvoirs de Xorn, aura laissé s’échapper 42 fugitifs de la prison anti-méchants, sont allés à Clichy-sous-bois pour expliquer que brûler des ‘oitures, c’est pas bien les enfants, aura tenté une infiltration de The Hand par Echo qui s’est retrouvé avec des mythiques shuriken dans les fesses pour la mission d’espionnage la plus foireuse de tous les temps… Et puis c’est tout. Alors que Bendis se touche sur un bilan proche du keudalle en 3 ans, mouif quoi. Le trait de Cho me surprend en bien. Il est pas mal pour la narration mais ultra mauvais en pin up. Sa couv est vraiment nulle par exemple. Mais le plus gros problème, c’est qu’après avoir déboulonné (et c’est un euphémisme) Iron Man, on a du mal à voir ces gars comme des héros. On serait plus proche même d’un concept à la Collabovengers, croisement entre Thunderbolt et The Great Lake Avengers. Bilan du N°1 mitigé. Next !

Comics checklist d’octobre

Je sais, c’est plus octobre, donc get rollin’

The Authority 1: Gene Ha, Grant Morrison, Authority, toutes les conditions étaient réunies pour une montée d’adrénaline. « The Plot thickens » dit à un moment un gonz. Malheureusement, c’est de l’arnaque entre des pages reliées par deux agrafes. Des splash-pages, du built up dont on ne comprend pas grand chose. La fête est gâchée.

Wild Cats 1: (par momo, encore, mais avec Jim Lee) donne l’impression d’une capsule temporelle des années 90 qu’on ouvrirait qu’aujourd’hui. Peut-être même que Jim l’a dessiné à l’époque, qui sait ? L’histoire, mmm un peu obscure pour le non initié aux ères précédentes, comme un goût de n’importe quoi cosmique. Mouif.

Ultimate Power 1 : Le cross over de Supreme Power / Squadron Supreme et d’Ultimate Fantastic Four. Excitant sur papier ? En plus c’est Greg Land au dessin, les fans de nanas FHM / Maximal vont adorer. Mais voilà Bendis était le mauvais gars à foutre là-dessus (encore ?). Ben Grimm perd un peu de son écorce, Reed analyse ça et par inadvertance ouvre une commode brèche interdimentionelle (bah oui sinon y aurait pas de comics). Et qui déboule en cliff hanger ? L’escadron suprême. Wow. Incroyable. Ils étaient sur la couv, et en plus c’était l’objet de ce comics. Non vraiment on est estomaqué. Jetons un coup d’œil à la couv. 1/9… 8 autres numéros comme ça. Bon courage à ceux qui suivront.

Powers (vol 2) N°20 Malheureusement avec sa dérive héros cosmogonique prise depuis 5 numéros, la série a « sauté le requin ». C’est devenu moyennement intéressant, moins hard boiled. Un comics qui a manqué le bon moment pour s’arrêter.

Fantastic Four 540 Fuckin’ Civil War Iron Man écoute aux portes la conversation de Parker et de Reed Richards. Sans doute le moment le moins out-of-character du personnage en 2 ans (si l’on oublie le fait qu’il revient d’une visite guidée, montrant fièrement à Peter Parker, le goulag qu’il a fabriqué à l’aide de Reed pour mettre des super héros réfractaires, situé dans une autre dimension). A part ce petit détail, non vraiment brillant, quelle maitrise des personnages. Prochain numéro, Reed Richards va mettre Nelson Mandela aux arrêts.

Y The Last Man 50: Ohhhhh oohhhh des histoires de clones… Pourquoi . ? Mais pourquoi ? J’espère vraiment qu’on va revenir sur une histoire road movie comme avant, parce que ça commence à sentir le sautage de requin ! __ Criminal__ 1: Adoubé par la presse, multi recommandé, Criminal de Brubaker n’est certes pas le nouveau chapitre d’un Evangile fraichement retrouvé dans une cave nord-coréenne, mais ça se laisse lire. De la qualité, messieurs dames.

Other Side 1 James Aaron et Cameron s’unisse pour un récit autour de la guerre du Vietnam. Ca sert un peu le bide, mais les différents points de vue (façon Flag of our fathers). Ca change aussi des trucs cynico-destroy de Garth Ennis. Good Pick, les gars.

Ultimate X-men 75 Arrêté il y a 60 numéros, je profite du nouvel arc (Cable) pour revenir faire un tour, juste pour voir. 75 numéros de What if, ça se fête. Cable vient donc du futur pour casser la gueule aux X-Men. Je crois que tout est dit. Il est cyborgisé de partout, on ne sait rien de lui, et il cogne. On peut imaginer qu’avec un background aussi vierge, Robert Kirkman va pas chercher à trop l’alourdir d’avantage. Rigolo et assez frais comparé aux titres X principaux en ce moment.

Cable Deadpool 33: Mmm une couv de Rob Liefeld qui pique les yeux. Heureusement l’intérieur est bon et drôle même si le cliffhanger fait douter de la logique interne du truc… Enfin c’est Deadpool, quoi. Rien à comprendre.

X Factor 12: Une année d’X Factor qui se termine en beauté. Tout les sub plots partent en fumée, sauf Layla Miller. Il ne manque que du sexe pour que le comics soit parfait. Le meilleur X Title du moment, avec Cable Deadpool suscité.

Wolverine 47 Civil War Où avait on laissé Wolverine ? ah oui, tchic tchac snikt bzzzz. Il poursuit son enquête, avec panache, quand soudain Sentry envoyé par Iron Man (oui le gars qui a aidé le poilu dans les derniers numéros) vient lui casser la gueule. Logan arrivera-t-il à venger tous les enfants morts lors de l’explosion qui a déclenché Civil War ? Arrivera-t-il à dégommer la candidature de Ségolène Royal à l’investiture du parti socialiste ? Sait-il qu’il y a une autre série ongoing Wolverine Origins dont personne n’a rien à foutre ? Je vous le dis tout de suite, l’issue de l’affrontement et même de l’arc ne fait AUCUNE différence. Fallait juste suivre l’histoire pour ce qu’elle était, du chambara griffu, des dialogues punchy et quelques très bonnes idées. Du bon comics tchic tchac de commande.

Uncanny Xmen 479 Pendant que les X-Men s’ennuient à bord du faucon millénaire (vraiment ! ils le disent !), Gabriel « Songoku » traverse l’espace en volant. Fallait bien faire un intermède de plus, que nous appellerons Final Fantasy Berserk VII : Korvus, un Shi’ar, récupère une épée énorme et vraiment ridicule et doit attaquer les X-Men avec. C’est l’épée du Phoenix. Au moins l’histoire a fini d’être chiante, elle est maintenant ridicule. C’était la partie 5 de 12. Courage.

Next Wave9: Je ne sais pas si ce comics a été plus drôle que ce numéro. Et pourtant on a eu des dragons géants en caleçon, un clone de Nick Fury en dessous féminin, Dormamu la tête dans les cabinets, mais là… entre le Millar bashing gentil. Mais p%tàïn, ce que c’est drôle.

Soldier Seven 1 : Pour nos amis newbies, c’est le dernier numéro de la série, après un opening book numéro 0 et 7 mini séries venant s’intercaler devant ce numéro 1 qui sort ‘achement en retard. Inside, l’art magnifique et caméléon de J.H.Williams III. C’est magnifique, par contre je n’ai rien rien rien compris… Mais alors walouh. Incompréhensible. Pas la moindre idée de ce qui s’y passe. C’est comme faire l’amour à une belle femme d’un pays dont on ne comprend pas la langue : on entrave que dalle, on se laisse enivrer.

Ion 7: Kyle fait (une fois de plus) le point sur sa relation passée avec Jade avec son ex-beau père. Finalement, ça se lit comme une série ongoing, c’est plutôt joli, y’a des moments relax et d’autres plus enervés. En tout cas, toute l’entité « Ion » est assez intéressante…

New Avengers 24 : Qui devait être dessiné par Adi Granov, qui finalement n’a eu pas le temps de le dessiner. Du coup on a Pascual Ferry. Bon glissons. Sentry, le keum ultra puissant a le coup de blues et va du côté de la lune pour noyer son chagrin. Y’en a, c’est le chocolat, d’autres c’est les voyages dans l’espace. Il rencontre les Inhumans, en guerre contre la Terre. Mmmm ok. Puis Iron Jerk déboule pour lui faire « au boulot ». Ouais, hein, y’a un goulag à remplir. C’est à peu près tout… Ca ne nous dit pas ce que Sentry fait le reste du temps, pourquoi on ne l’a vu pour l’instant… que dans Wolverine… Et puis c’est tout. C’est leger léger. En fait même non, on y croit pas une seconde. C’est ultra poussif. Iron Man est maintenant systématiquement balancé à la fin d’un comics pour faire un laïus à la noix (qui se contredit à chaque fois : « je vais raisonner Cap » « je le transforme en tableau de Picasso » « Moi aussi j’aime pas cette guerre, maintenant, mange ta knaki Herta, Peter » ou encore « ja, enfermons dans le nouveau goulag, herr Richards ». Relisez les différentes apparitions d’Iron Man depuis le début de Civil War, vous verrez, c’est tout simplement irrationnel. Poussif aussi car ça fait numéro qui tente de se justifier d’une situation, hors on ne devrait pas à avoir à acheter un comics pour comprendre la situation d’un cross-over dont l’existence même est out-of-character. Bon dieu, en fait ce comics est affreux. Nul nul et nul.

Daredevil continue sa tournée européenne. Il s’en prend plein la gueule, et dérouille pas mal d’autres gars. C’est beau, c’est bien écrit.Et Daredevil fait parler un bâtard en lui tordant le bras en lui hurlant : « parle, nom de dieu » ; en français dans le texte. Génial.

Action comics 844 : Numéro important puisqu’il marque le début de la collaboration Geoff Johns, Richard Donner, et Adam Kubert. Et c’est achement beau. Me souviens plus avoir autant aimé le fiston Kubert depuis très longtemps. Un môme débarque dans un engin similaire à Kal El.Visiblement il est kryptonien, avec un peu moins de bol puisqu’il ne tombe pas dans le Kansas mais à Metropolis. Une histoire de Super Gamin, un clark qui ressemble à celui de Superman Returns, Pa et Ma Kent absolument pas ressemblant à ceux qu’ils sont d’habitude… mmmm essaye-t-il de créer une Earth Superman the movies ? Supes va donc essayer de le soustraire aux scientifiques. On ne sait pas dans quelle proportion Richard Donner a travaillé dessus (sans doute plus que Brian Singer sur Ultimate X-Men) et on ne sait même pas trop dans quelle direction va aller ce titre, mais ça s’annonce plutôt bien.

X-Men 192: Ok j’ai été dur avec X-Men de Carey et Bachalo. Et là, ça s’améliore vraiment.Tout d’abord parce que Chris bâcle son dessin (5 encreurs seulement), mais c’est le seul qui en rushant son boulot, devient plus clair. On reconnaît qui il dessine et ce qu’il se passe et c’est un plus non négligeable. De plus, on comprend donc un peu ce qu’il se passe, tout s’assemble petit à petit pour une baston qui va suivre. Emettons quelques réserves quand à l’équipe de bras cassés commandée par Rogue : Iceman, Karma, Canonball, Cable (chef d’état de deux pays mais il trouve le temps de faire le X-Man), Mystique, Lady Mastermind et Sabertooth. On ne peut décemment pas leur confier des enfants en bas âge, regardez les noms, on dirait qu’ils viennent de faire un Prison Break ! De plus, wow, quoi, Karma, Lady Mastermind… Ils les jouent aux pokers, les personnages ? Pendant ce temps, il fait quoi Cyclops ? Il fait des cameo partout et dort dans Astonishing. Le leader ! Va vraiment s’accrocher pour nous faire de l’interaction pertinente avec ça. Ca sera sans doute pas l’arc du siècle, peut-être la base pour autre chose ?

Uncanny Xmen 480, alias la mi chemin de l’arc de 12 numéros. Après avoir établi Vegeta Summers comme un personnage ultra puissant qui vole de galaxie en galaxie et balance des kameha pour un oui ou un nom, il se fait soudainement battre on ne comprend pas pourquoi, mais genre comme une merde. Au passage il perd un œil et se choppe une cicatrice. Le frère de Cyclops est borgne et en plus son œil brille comme Cable (son neveu du futur). Mais où vont-ils chercher ces idées ? Tips: Il tombe au moment de son évasion de taule sur des gauchistes de l’espace qui veulent délivrer Lady Deathbird (peu subtilement évoquée dans le numéro 3 de l’arc, mais on va faire les étonnés). Nettement mieux que les 5 premiers, l’arc à mi chemin souffre de pas mal d’handicap. Il a fallu en arriver là déjà. C’est loooong. Jeez, fut un temps, les X-men sautaient dans le blackbird et hop, ils étaient à l’autre bout du cosmos. Et pis attention, y’a pas Cyclops qui vient, ni Wolverine… non non l’ultra cool Thunderbird. Fais nous rêver, mec, on s’accroche.

Midnighter 1: Dès la première page, on nous rappelle qu’il est homo. Fin. D’autant qu’il se fera traiter de sale pédé plus tard. Fallait le préciser. Puis on apprend (pour ceux qui l’ignoraient, comme votre serviteur) qu’il a un gosse. Une phrase pas plus. Page suivante il tue des gens en Afghanistan. Genre un ouf. Les dernières pages sont bizarroïdes, puisqu’on lui demande rien de moins que « tuer Hitler ». Très honnêtement, perplexité et circonspection s’imposent.

Criminals 2, pas lu, je sens que ca va être go for the trade

Fantastic four the End, par Alan Davis 100%: Et 100% de bonheur. Une plongée dans un monde Marvel à la the Nail. Les FF, défigurés par la perte de deux des leurs dans l’ultime combat qui les opposait à Doom, mènent une vie triste. Leur leader est triste, Ben vit sa vie pépère, Sue fait de l’archéologie tandis que Storm a rejoint les Avengers. Ils vont sans doute être amené à se réunir à nouveau dans une mini série qui a simplement le mauvais goût d’être partagé en 6 numéros. 2 numéros prestige, non, pouvait pas ? Les FF n’ont jamais été aussi beau que dessiné par Davis, qui maîtrise aussi bien le super-héroisme que les courbes des femmes. Soyez là pour le prochain numéro, un comics qui fera peut-être date, mais en tout cas, il y a déjà les bonnes vibes pour ça.

The Thing TPB

J’ai découvert sur le tard le boulot de Dan Slott. Enfin, sur le tard, il reste encore de la marge avant qu’il ne fasse des gros titres. Son mini run avec Benjamin J Grimm part d’une idée simple : Dans Fantastic Four, Reed Richards (avant qu’il ne bascule du côté obscur) lui dit « tu sais, mon pote, pendant des années, on t’a versé un salaire ». The Thing regarde son compte en banque et effectivement il a des milliards. Bon, vous feriez quoi, avec des billions de dollars au chaud ? Allez quoi, c’est évident : strip teaseuses, call girl, voitures de luxe et la ligne de vêtements bling bling puff Daddy. Et bien, c’est ce que fait Ben. La brique s’éclate. Oh bien sur, il va être attaqué par Arcade, pas zen du tout, qui va l’enfermer, lui, Stark et quelques autres gus dans un Murderworld. Après cette aventure débridée (bon sang, Arcade, quel pied, un de mes méchants Marvel préféré), notre milliardaire briqué va aider son pote de Yancy Street, et mine de rien se lancer dans une quête personnelle, devenir un mench comme dit son vieux pote. Le sens qu’il donne à sa vie, Grimm va logiquement le fêter en faisant sa Bar Mitzvah (ouais hein il est juif). Il va devenir un mench. Mais bien sûr, tout se termine par une partie de poker, tous un peu en mode out of character rigolo comme dans les années 80, avec que des gars connus dans la place, de Captain America et Iron Man avant qu’ils soient en guerre, jusqu’aux nazes des Great Lake Avengers. Tout est dans la légèreté. Ca a un nom : les comics du Silver et du Bronze Age, quand ils étaient fun, pas le genre à se regarder le nombril en se faisant des comics pédant avec une « super catchline de fin de numéro ». Ah et cet épisode de l’anniversaire d’Alicia Masters, où le couple va dans le temps, dans la Grèce antique… Cette série avortée est un peu le vilain canard de Marvel, une offre totalement à part, au milieu de tous ses comics qui se prennent au sérieux. Une série drôle et touchante qui donne et redonne envie d’aimer les comics. Et aussi les fleurs, la vie et les femmes nues. Du très bon !

July, comics countdown to infinite summer

Detective Comics 821 Paul Dini. J.H williams III. Batman. Tout est dit. Batman a rarement été aussi bien écrit que dans ce one shot. Et les dessins, la mise en page, olalala… Et ca sera un an comme ça tout du long, que des one shot, sans satellite espion, sans Batpsychotique, Batpsychorigide, BatJospin, ni de Bat-menace à Robin pour qu’il bouffe des rats (voir All Star Batman de Miller). Ils nous ont rendu le vrai Batman. Alleluyah !

Y the Last Man 47 Les origines du Dr Mann, où l’on sait tout sur l’éclosion de son homosexualité. Pas très réjouissant ni très drôle mais bon développement de personnage.

Atom 1 La surprise. Gail Simone écrit l’histoire d’un tout nouvel Atom d’après des idées et concepts de Grant Morrison. Byrne est encré par Trevor Scott et c’est vraiment wow… Mais vraiment. La double d’ouverture est incroyable. Et l’histoire commence vraiment bien, c’est un peu délirant, avec des chiens espions placés chez le président. Byrne au top de sa forme ET bien encré, une histoire accrocheuse, je vais aussi rester pour Atom. (note enfin Byrne y reste que pour 4 numéros… grmmf)

Uncanny Xmen 475 La bonne nouvelle, c’est que Brubaker n’a encore tué personne dans son premier numéro du premier arc qu’il va faire pour Uncanny. Première idée habile, il balance tout le monde dans l’espace chez les Shi’ars, sans doute pour éviter tout problème avec Civil War. Ensuite, le cast est bizarre (Warpath ?) et surtout bien présenté, de manière assez série TV hype, très cinématique. Maintenant ça repose entièrement sur Gabriel Summers, le troisième frère et malheureusement tous les efforts du monde ne serviront à rien pour rendre crédible cette idée à la con de Deadly Genesis. Ah oui, à ma grande surprise, Billy Tan est plus ou moins regardable. Il ne sait pas dessiner les bras tendus, mais après, il y a vraiment un mieux avec ce qu’il faisait avant. Un titre dont on a du mal à croire qu’il pourrait être intéressant à moyen terme vu le départ foireux.

Green Lantern 12 Ivan Reis est dans la place. Alors c’est sur le keum qui ne connaît rien de la saga avec Parralax avec la mort de Hal Jordan ne comprendra rien. Mais bon, wtf, Henshaw is back et ça reste du bon comics de super héros pour peu qu’on aime les wouha cosmique.

Squadron Supreme 5… Olalala on retombe dans la décompression à la noix. Numéro 5 et on retombe dans le schéma vu dans les numéros 2 et 3 (le 4ème c’était un retour en avion). Sauf que là, c’est des arabes, façon « pays de l’or noir » à la Tintin, mais tendance Mollah Omar. Vu que Gary Frank va laisser sa place à … Mike Deodato Jr, je sens que je vais lâcher l’affaire. Ca aura fait une bonne vingtaine de numéro quand même. Grmmmf.

Front Line 3 Civil War Tie In Speedball continue de passer pour un petit connard en prison. Qu’a-t-il fait pour mériter ça… Le pire c’est sans doute She-Hulk qui est une vraie connasse, genre sans cœur… qu’est ce qui lui prend ? (et puis pas cohérente avec son propre titre en plus !). Les autres histoires, celle de Ben Ulrich, continue sur le thème « témoignage » tandis que l’ultime nous ressert de la métaphore historique (14-18 ce coup ci)avec Cap. America en fond. On peut zapper.

Xmen 188 Tac. La retombée. Ce qui chute, c’est les attentes que j’avais dans cette reprise de la série par Carey et Bachalo. Pas l’ombre d’un horizon d’une histoire pour l’instant, si ce n’est des clefs cryptiques. Pour l’instant, ça fait aussi peu de vagues que l’époque Joe Casey (vous savez, l’église de sciento-mutants là). C’est dire… Bachalo est on fire, mais dans le mauvais sens du terme. Son dessin est redevenu exprès confus. On ne sait plus qui est qui, et seuls les bulles avec des noms permettent de resituer ce qui se passe. Don’t get fooled by the cover, cette scène ne figure pas dans le comics, pas plus que la moitié de ses personnages (méconnaissables). Ca a pas déjà commencé que c’est déjà rébarbatif et illisible.

Superman 654 Excellente stand alone issue de Superman qui reprend du service. Carlos Pacheco est vraiment au top de sa forme. Perso, son boulot que j’apprécie le plus depuis son machin truc volant avec Busiek. L’encrage, les couleurs, les dialogues, Lois Lane, tout est au top pour cette histoire classique « une journée dans la vie de Superman, c’est pas de tout repos ». Du Super héros sans complexe, excellent, surtout quand, le même jour, on voit Superman Returns qui croit redonner de la vie alors qu’il se désintègre lui-même. Malheureusement, ce genre d’histoires dans la longueur ennuie vite. Mais on en recausera.

Ion 4, c’est GL contre Ion. On ne sait toujours pas pourquoi Kyle pète les plombs. En tout cas il est surpuissant. Faudrait qu’un truc arrive là, parce qu’il éclate depuis 3 numéros déjà. A noter une couv d’une laideur incommensurable. Mon dieu que c’est vilain.

Pour lire Flash new gen faut s’accrocher. Déjà car le dessin est repoussant. Pire que ça même. Quand à l’histoire… parfois on ne sait pas trop qui parle, et hop on bascule en mode narration résumé de la vie des Flash sur 5 pages. Genre on l’a intercalé là… Ah et j’ai dit que c’était moche ? Non vraiment faut en avoir dans le falzar pour suivre Bart dans sa vie post ado avancée.

Eternals 2 Ou comment faire du big whouha cosmique et de l’histoire lambda en même temps. En plus c’est assez immersif, c’est vraiment très bien maîtrisé. Mais on veut du gros keum cosmique maintenant, Neal !

Xfactor 9 Civil War Tie In Quicksilver se réfugie dans Mutant Town, chez Xfactor, ses anciens potes. Les Xmen déboulent. Des dialogues truculents, des situations saugrenues ! Encore ! C’est même à la rigueur plus un aftermath intelligent de House of M qu’un tie in à Civil War. Encore une fois un des meilleurs X Titles du moment.

Xmen : Civil War 1 Countdown to infinite Crisis countdown tie in Bon, c’est moche là. Scott et les autres Xmen originaux remettent les costumes de l’ère Morrison ( le cuir bizarre là) et partent à la recherche des 198. Dont tout le monde se fout d’ailleurs. Bishop pendant ce temps là poursuit son travail de collaboration. Attention, plein de métaphore sur la guerre, les camps de concentration, le marquage au fer rouge. On remarquera à quel point il est facile de tromper la vigilance des sentinelles puisque Wolverine fait cavalier seul dans son propre titre, les X boys originaux tracent dans une jeep sous terre tandis que Xavier décolle pour l’espace. Chuper. Bref, on résume, les Xmen originaux se réunissent pour… poursuivre les 198 (qui sont pour moitié des bads guys). Pour faire quoi, on ne sait pas. Lecture inutile donc.

Cable Deadpool 30 Xtinction Agenda Tie In Hilarant de la première à la dernière page, avec une apparition de « est-il vraiment Daredevil», des GLAvengers. Encore une fois un tie in bien tripatouillé qui explique comment Cable va rejoindre la guérilla du Captain America. Vaut VRAIMENT le coup. Rien que pour sa page d’intro !

Uncanny Xmen 476 EP j’ai compris pourquoi ça va durer 12 numéros, cet arc. Episode 1, ils se réunissent. Episode 2, ils trouvent une navette spatiale dans un garage Norauto agrée Shi’Ar. Episode 3, la spatioporte est cassé, va falloir sortir son matos black & Decker pour la réparer. Episode 4 sera un flashback ou bien une fiche pratique : « comment faire durer éternellement un arc dont l’histoire prend la flotte ». Billy Tan a toujours autant de mal à dessiner des bras droits et franchement, on se dit qu’on aurait pu sauter un numéro. Le genre de comics qu’on pourrait tous écrire une main attaché dans le dos, mais en même temps, c’est plus lisible que Xmen où il faut s’y comprendre à 8 fois pour deviner ce que dessine Bachalo en ce moment quand il aura arrêté la picole. Rien de bien vibrant.

Civil War 3 Pendant que Spider-Man fait son coming out et clame au monde entier « Je suis Pierre Meursault et je regarde Motus tout les midis », Cap America organise ses Secret Avengers. Ils se sont bricolés des fausses id et les différents plots des différents autres titres se mettent en place (X Factor, Xmen CW, Cable Deadpool etc) de manière assez intelligente. C’est vraiment très bien édité, si ce n’est l’imbroglio concernant l’identité de Daredevil. C’est donc aussi la baston tant attendu entre Cap et out-of-character Iron Man. Il n’est pas le seul à être utilisé de manière naze puisque Reed Richards est passablement grotesque. Le dessin, vu le coté photo réaliste est un chouia mou. Le problème principal, à quasi mi chemin du crossover, c’est que le scénario semble avoir été imaginé par un môme. « Ca fait boom. On vote un truc, on est pas d’accord, on se bat, Iron Man transforme Captain America en steak tartare, Thor revient. Il se passe des trucs hein, mais c’est pas bien malin. Les personnages agissent dans l’intérêt de l’histoire (et pas en fonction de leurs caractères propres) alors que ça devrait être logiquement l’inverse. Celui qui tire son épingle du jeu, c’est Straz, puisque les deux majors plot concernent ses deux titres, Amazing et FF. Sinon, on peut vraiment se poser la question sur Iron Man qui défonce littéralement la gueule à mort de Cap… Plutôt bien orchestré mais très dangereux. Iron Enculé…

Amazing Spider-Man 534 Civil War tie in Ce qui est commode avec Civil War, c’est qu’un scénariste en panne peut greffer son scénario sur celui, très simpliste du crossover central (Civil War hein, tu suis ?). On y retrouve un Parker désabusé après son coming out (déjà), coaché par un Iron Man plus connard que jamais. A toute les pages il doute, Parker. Tiens, il sait que j’ai un spider sense ? Et ce costume, je devrais l’examiner ? Et puis le final est vraiment biaisé.C’est Spider-Man contre Captain America. Mais Spider-Man pense comme Cap. Quand il lui envoie son bouclier, il fait « ca y’est il m’envoie l’emblème de la nation »… Ca ne ressemble à aucun Spider-Man, ces conneries. Tout ce genre de phrase, c’est du Straz out of character comme on en lit depuis un an. Et en plus c’est biaisé. Cap, c’est la vertu même ! Que pèse face à lui un Stark odieux, manipulateur ? Ceci étant la baston est très bien foutue, Garney donne un peu tout ce qu’il a. Plaisir ambiguë.

Front Line 4, déjà, toujours Civil War. Bon la première histoire est chiante. Ne nous leurrons pas, on lit ce comics pour les séquences de ramassage de savonnette de Speedball en taule. La limite du mauvais est encore une fois transpercé par la dernière histoire, faisant le pont cette fois ci entre super héros Marvel et la guerre du Vietnam. Bon il reste plus que les samurais, la guerre du golfe et la guerre des boutons et on aura fait le tour. Nul.

Batman 655 ou Grant Morrison déboule sur le titre. Andy Kubert (celui que j’aime le moins de la tribu pond son habituel clonage du Jim Lee des années 90 (splash splash). Cependant, c’est une bonne écriture, mais il faut voir ce que ça donne sur la longueur. Ce n’est pas aussi audacieux que ce à quoi nous avait habitué l’anglais puisque c’est grosso modo une histoire de Bruce Wayne qui soigne son image de marque, à l’ancienne. A suivre si on supporte les fonds de Gotham City mauve et oranges. Urgh.

Savage Dragon 0 Olalala bon sang. Je lisais Savage Dragon ado, et j’ai lâché y’a 2 3 ans. Comme ça, un peu lassé. Ce numéro reprint du mythique Image N°0 (rires) élaborant les origines de Dragon avant son arrivée sur Terre. Ca n’a aucune forme d’incidence sur le personnage tel qu’on le connaît. C’est même plutôt nul, comparé aux délires atteint depuis par la série autour du numéro 75 ou 100… Juste de la curiosité nostalgique donc.

New Avengers 22 Civil War of course Leinil revient dans un one shot de Luke Cage assez joli. Ca ne vole pas très haut, on n’apprend rien mais alors rien de nouveau mais ça fight pas mal. Doit-on ajouter qu’Iron Man passe encore une fois pour une raclure out of ce que vous savez ?

Wolverine 44 Civil War tie in Etonnement, LE titre qui fait avancer un peu la trame principale du mega crossover du trimestre, c’est Wolverine. Qui l’eut cru ? Plutôt bien écrit, le poilu continue son enquête en marge de la guerre sur Nitro et se retrouve avec deux nouveaux gus inconnus. J’espère que vous passez au travers des spoilers, sinon vous allez trouver ça assez décompressé en plus d’être convenu. Bref, ça castagne, ça charcute… mais bon c’est un comics de Wolverine hein. On a remplis son contrat.

Astro City Special. 40 pages de blabla assez enivrant entre Samaritan et Infidel, un bad guy thématique avec qui il a fini par lier amitié. C’est vraiment super n’est pas un argument, mais ça fait un peu oublier le mega retard pris par la deuxième partie de Dark Age of Astro City. Du très bon et toujours un peu différent.

J’ai donc commencé à lire sur recommandation She Hulk. Dan Slott est dans la place, avec deux histoire, une avec Paul Smith, la deuxième avec Frenz et Buscema, ça ne se refuse pas. La biatch verte devient donc de part son mariage la belle fille de JJJameson, toujours traumatisé par le coming out de Spider-Man. Dé Lec table !

Xmen 189 Alors le numéro précédent, résumons. Les Xmen allait dans un labo, récupérait une mutante… A un moment y’avait baston avec sentinelle, on comprenait rien… et Sabertooth débarquait, pour dire « mmm les gars, vous avez TPS et le câble, je vais rester chez vous ». Voilà donc déjà le numéro 2 de cet arc, et en fait j’ai décidé pour la première fois de vous faire un review page par page, car j’ai beau le lire, je ne comprends RIEN à ce qui se passe. Donc intro, Carey et Bachalo (et 6 encreurs, oui, plus y’en a la fête est plus folle…) Pas de page de résumé, on est pas dans la merde. Base Shield dans l’Alaska. Page 2, on voit ce qui paraît être Northstar (on le comprend qu’après, ne pas se fier aux dessins). Deux keums devant des ordis manipulent un keum relié à un bidule. C’est Northstar dans sa machine à détapetiser (et à le libérer de l’emprise de the Hand). Ca, compris à la troisième lecture. Page suivante, des méchants mutants mexicains débarque. Ariba, ariba, pépito disent-ils pour faire plus Mexicanos. Ils récupèrent notre Jean-Paul Beaubier. Pendant ce temps, Sabertooth est enchaîné et demande à parler à Xavier. Emma Frost lui dit que pouic. Northstar se fait rerereprogrammer par les Burritos. Puis c’est Val Cooper qui discute avec Xavier. Qu’elle croit, car en fait, c’est Mystique. Elle est con, elle aurait maté une des ouate milles caméras braqués sur la mansion, elle aurait compris que c’était un fake vu qu’il s’est barré dans l’espace. +Interlude+ deux pages dans l’espace Shi’Ar. Aaaaah ça nous avait manqué ça !! Et si vraiment ça vous manque, story arc en 12 parties dans Uncanny. Wouhou. Canada. Alors que Jeanne-Marie tente justement de se suicider, son frère Northstar, déjà déreredéprogrammé la sauve et l’invite à le rejoindre. Vous avez remarqué ? quand c’est les gentils qui veulent soigner un lavage de cerveaux ça prend des lustres, alors que quand c’est les méchant, ça se fait en une heure, genre « va donc chez speedy ». Re une page avec les Fajitas, mais on sait toujours pas ce qui se trame. Ce qu’ils se disent ? cryppppptique. Là, hop infirmerie des Xmen, Beast est devenu un chat façon Shrek. (Arrêtez les mecs !) Il s’occupe de la meuf récupérée dans le précèdent numéro (oui, souvenez vous) et d’une autre (oubliée celle là). Elle est à poil mais a des bras en armure robot, très pratique pour faire des origami, j’en suis sur. Wolverine passait par là, coucou. Xmansion, les muchachos arrivent dans le jardin, lancent une éclipse du soleil comme dans Tintin et le temple du soleil. Northstar et Aurora, légumifiés, cassent un carreau, déboule et crament ce qui a l’air d’être Iceman. Enfin je crois. A suivre. Backup comics aussi rien à voir qu’inintéressant. Du private joke éditorial. En définitive, Xmen est illisible et surtout est passablement inintéressant, un peu encéphalogramme plat. Enfin il reste 4 numéros à l’arc, mais j’ai vraiment dû lutter pour comprendre ce qu’il passait. Pas malin pour un comics de supér-héros. Pas très rassurant.

(sans spoiler) L’authentique run imparable de Marvel de ces derniers temps c’est Daredevil. Cet arc qui s’arrête au N° 87 a tout d’un futur classique. Des moments intenses, d’accablement, de héros acculés, poussé à ses limites, des guests inattendu (Punisher, incroyable), un sens du dialogue, de la surprise et des évènements. En plus d’un exploit, celui de passer avec brio derrière le long run de fou furieux de Bendis, Bru fait sans doute là un des meilleurs boulots de sa vie. Et le dessin ne gâche rien. Exceptionnel, et pourtant j’étais bien sceptique.