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If it ain’t broke, don’t fix it
Sep 8th
Les insomnies, trop de la balle.
L’autre jour, j’écrivais un truc sur Final Fight… Man, j’adore Final Fight. High concept : l’histoire d’un maire qui part à la poursuite de sa fille kidnappée, habillé en salopette, avec un loubard blond et un mec-ninja en kimono rouge. J’aime bien Delanoë, mais c’est pas lui qui ferait ça. Et les autres ? Gérard Collomb ? Estrosi ?! Gaudin, j’en parle même pas. Je veux dire, même si t’es apolitique, il est de ton devoir de voter pour un mec qui va tabasser des punksàchiens à la barre à mine dans le métro.
Mais un truc m’a toujours emmerdé, c’est la censure globale du jeu dans sa version occidentale. Le DaisyDuke de Poison devient un short qui lui arrive jusqu’au genou… SOIT. Et puis il y a l’intro… Un exemple parmi tant d’autres avec la version Mega-CD (kiffe la musique au passage) :
Japonaise:
Américaine :
C’est bon ?
La fin aussi a son petit twist
Jap :
US:
Pourquoi nous priver de ce micro-moment de bromance entre Guy et Cody ? Radinerie parce qu’ils payaient les comédiens à la ligne ?
Du coup, enchaînement avec SoulBlader. Je précise que le seul rapport entre les deux, c’est qu’ils sont totalement Airwolf, avec une musique qui poutre. Soul Blader est un action-rpg où l’on passe son temps à faire des B.A, à libérer des âmes emprisonnées pour recréer finalement des villages entiers. Un jeu forcément signé Quintet, feu-studio d’Actraiser. Et malgré son ambiance assez darkish pour l’époque, il est quand même arrivé en occident sous le titre Soul Blazer. À la fin (oui je te spoile un jeu de 1992), le héros bat le méchant et devient littéralement un dieu. Seulement voilà, il s’en veut d’avoir laissé sa bien-aimée chez les mortels. Il renonce alors à sa déité (en perdant au passage la mémoire, le genre de truc qui arrive plutôt AU DÉBUT des rpg) pour la retrouver. Rebelote, le jeu des “une différence”, avec une fille mélancolique :
Version Jap (avec du texte au début, mais t’vas voir, c’est assez évident à spotter)
Putain, Quintet me manque…
Version US
Bon dieu, qui est le mec qui a pensé que c’était une bonne idée de changer ça ?!
L’occasion de conclure avec un “If it ain’t broke, don’t fix it”

C’était il y a 15 ans n°7
May 12th
Il y a 15 ans sortait mon Fire Emblem préféré. Mais au fond, je n’y joue que pour entendre cette musique.
Joyeux anniversaire la Super Famicom
Nov 21st
20 ans, ça se fête.
Ouais sauf que moi, pu de rond donc j’avais juste acheté Dynamite Duke.

Olive et Tom Vs la coupe du monde 2010
Jun 11th
Alors que je supportais (au sens véritable du terme) le dernier Captain Tsubasa sur DS, j’ai eu soudain ce rêve.

Olivier rentre sur le terrain. Il chante l'hymne, la main sur la poitrine. Une spéciale dédicace à Philippe Seguin, un fan de foot qui nous a quitté en Janvier
(un mémo pour les plus jeunes qui ne connaissent pas…)

Olivier récupère la balle en plein vol et utilise son retourné avant (il tape avec le talon, comme euu... essayez chez vous)

Comme Rohff, Tsubasa se fait la passe et marque tout seul (dixit "La Puissance" de Rohff... visiblement Rohf est très puissant)

Devant les cages de Lloris, Olivier et Ben sautent. A 10, 15 mètres de hauteur seulement, histoire de rester réaliste...

Incroyable ! Alors que l'équipe de France en est encore à se demander si Ribery va faire la passe à Gourcuff (parce qu'ils ne sont pas dans le même délire), Olivier et Ben tirent un double retourné !

Après 3 minutes de vol en piqué et de déformation, la balle vient enfin déchirer les filets français. Le Japon bat la France. Ils n'avaient qu'à sauter plus haut.
En gros, c’est ça le match idéal. Même pas besoin de lunettes 3D comme Avatar.
Toutes les images proviennent des jeux Captain Tsubasa, et plus précisément d’un dossier que j’avais consacré à la série pour Animeland en… euu 2002. La plus belle année du foot, avec la Corée en demi. Et l’EDF qui pliait bagages en 3 matchs. Bien fait de les garder depuis tout ce temps…
En attendant de poster le dernier test sur DS, j’ai retrouvé ça dans mes archives, un jeu sur PS2. 2006, les mecs. L’année du coup de boule.
Com-Robot