Posts tagged Super Robot Taisen

C’était il y a 15 ans n°14
Dec 20th
Il y a 15 ans, Sony se rendait compte qu’il fallait avoir une mascotte pour sa console. C’était la fête à Crash Bandicoot le mois dernier et là, c’est Parappa The Rapper qui fête ses 15 ans sans que personne n’en ait quelque chose à foutre. La vérité, c’est que Sony a réussi à imposer ses consoles sans véritable tête de proue. Ou bien s’en bricole des épiphénomènes jetables.

Airwolf Watch 4
Jun 2nd
Ow man. Whatamonth.
Vous vous souvenez quand Raffarin a essayé de nous supprimer le jour de l’Ascension ? Man, those were the days.
Soudain, les articles Airwolf de mai :
Et puis la vidéo, cadox, 8 mn de tunnel Airwolf.
Vous avez aimé le film ? Well…
Et puis le calme.
J’ai joué un peu au FFIV refait, suffisamment pour avoir envie de rejouer à Mother 3 ce week-end.

Février, mars, avril…
Feb 1st
2010, c’était de la gnognote à côté de 2011…
D’abord, j’en ai bientôt fini avec le Final Sakaguchi.
Mesdames et messieurs, Last Story !
Eu non, pas la bonne photo. On la refait. Voici Last Story !
Ouais, c’est plus ça en fait.
Trempé jusqu’au coude avec ça :
et puis aussi ça (mais pas trempé) :
(Oui, j’ai décidé de prendre une image SFW de GalGun)
Et puis aussi Dream C Club Zero. Qui arrive en même temps.
Désolé je n’ai pas retrouvé l’image avec une saucisse. Ce sera Haagen Dazs.
Tout le mois de février, ça continue avec Dragon Ball Z Ultimate Butôden, Gyakuten Kenji 2.
Et idolm@ster 2.
Et puis si j’ai le temps, il y aura Japon Musô 3Z.
Oh j’oubliais. La 3DS, là. Layton, Nintenchiens&chats, Street IV, Ridge Racer et Japon Musô Chronicles.
Mars ?
Zettai Zetsumei Toshi 4 ! Yeah !
Un Level-5 ? The Little Battlers. Hahah, pardon. Danball Senki
Ryû ga gotoku of the end of Zombie avec ses bars à hôtesses parce que finalement, le danger n’est pas si imminent…
Une dose de Samuraï ? Rurôni Kenshin sur PSP ou ça ?
Et le nouveau Dissidia. Ouf. Et FFIV Complete Edition. Et Gundam The 3D Battle. Je crois qu’il ne restera plus de temps pour Mou Saucisse (Musô 6, alias Dynasty Warriors 7)
Un saut en Avril. On saura peut-être qui sera le candidat du parti socialiste.
Chikyû Bôeigun 2 Portable !
Dai 2 Ji Super Robot Taisen Z
Pas mal de trucs qui finiront en apothéose avec…
El Legendary Shaddaï
2011, tout va bien, pas de problème.

Dans les dents 19 spécial animu
Oct 5th
“Puisque ma pile de comics en attente est déjà bien grande”, bah on y est. Dernière partie de ce tour du monde dans les dents. On a eu la franco-belge. Mangasse, c’est fait aussi. Reste plus que la japanim’. Non, pas de “série TV” surprise la semaine dernière vu que c’est une rentrée blanche et sèche pour moi de ce côté-là. En gros privilégié, Jack Bauer a pris sa retraite à 44 ans, l’île a disparu, plus rien si ce n’est Treme, toujours dans la liste à voir. Quoique, il y a le TV Drama de Ryû ga Gotoku junior où les gens ont l’air de se taper….
Anyway, on va ouvrir le bal avec… Iron Man. On y revient, forcément. Tu n’es pas sans savoir que Kamui Robotics creuse une ligne Maginot devant tous les machins hybrides américains qui se la jouent Miyagi-san. Surtout quand c’est français, remember “Inju“. Parfois, des gus y arrivent, genre le récent No More Heroes 2 qui bridge un peu tout ce qui est possible de trouver de cool sur google en tapant “Robot, Moé, Comics”. Là, c’est le Studio Madhouse, malheureusement touché par la mort de Satoshi Kon cette année qui s’y colle. Le studio de Kawajiri dont les coups de boules sont un des actes fondateurs de mon adolescence.
Le trailer de 2009 laissait présager quelque chose :
Iron Man affrontant un mecha-pirate probablement nazi. Je signe.
L’intro n’est pas si mauvaise, malgré une coupe intestable pour Tony Stark:
Mais la fête est un peu gâchée quand commence la série : à trois jours de la retraite, Tony Stark se rend au Japon où il doit superviser la construction d’un réacteur nucléaire à l’aide du Dr.Tanaka (une jolie femme qui ressemble un peu à Rumiko Fujikawa la copine de Stark circa 1998). Il y rencontre aussi le ministre de l’armée qui comme son homologue français Hervé Morin est pétri d’intentions diaboliques. Parallèlement, Tony bricole des prototypes bleu et argent baptisés Dio, destinés à équiper ses successeurs. Un truc qu’il ne ferait jamais dans la bd, au contraire, il n’a aucune confiance quand d’autres gens manipulent sa technologie. Mais glissons. Comme c’est le Japon, on nous rajoutera bien une journaliste incapable de poser une question. Sans déconner, la scène de l’interview est triste comme un comique qui prend un bide sur scène. Mais la journaleuse rajoute des moments comiques si typiques.
Not so much Tony Stark. Puis Iron Man sera attaqué par une version pimpée d’un robot du Zodiac, l’organisation criminelle qui n’a rien à voir avec le film semi-culte de Fincher.
Bilan : c’est pas brillant. Les personnages sont vraiment foirés et les robots sont en 3D bien laide pour qu’on la distingue bien de l’animation traditionnelle. En mouvement, ça va un chouïa mieux. Je trouvais la 3D de Super Robot Taisen OG (voir plus bas) mal intégrée, mais là, c’est un F.A.Q de ce qu’il ne faut pas faire. Bizarrement, alors que la technique semble vergéturée de partout, c’est l’histoire signée Warren Ellis qui, malgré un script un peu mou, s’en sort pas trop mal, mettant en difficulté Stark de manière crédible, ce qui est quand même indispensable pour tenir durant 11 épisodes.
et demi, mais qui peut pousser vers le deux.
Je ne retiens pas mon souffle pour le Wolverine japanim‘.
Oké passons à Super Robot Taisen OG the Inspector. Bon, je ne me prive généralement pas pour rappeler lors de mes tests de Super Robot Taisen OG que je n’ai pas vraiment d’affinités avec les personnages OG qui ont toujours été pour moi des faire-valoir bricolé pour que le joueur s’identifie lorsqu’il fait le sparring partner de Grendizer, Mazinger ou de Daïmos, le robot qui fait du karaté. Ce qui est incontestablement la chose la plus classe du monde. Et c’était la première fois, vers 5 ans que j’entendais du japonais, grâce à ce générique chopé sur une VHS louée par mon grand-père dans un vidéo club. Un jour à 8 ans j’y suis retourné pour y retrouver Daïmos mais c’était devenu, je crois, un vidéo club pour adultes. Depuis c’est une agence immobilière. Ouais, Daïmos et ses potes, c’était la raison numéro 1 de se farcir 40 maps souvent abominablement longues. Et aujourd’hui débarque SRT OG : the Inspector, réalisé par Ôbari, une autre idole de mon adolescence grâce à ce film que j’avais vu à l’époque en salle. Et dont un nouveau visionnage casserait tout. Mec, je savais pas que ça serait autant memory lane de parler japanim’, sans doute parce que ça fait vraiment faire des lustres que je n’en ai pas vu. À part le dernier Ghibli…
C’est logique de faire appel à Ôbari pour une série SRT. Il a une grosse expérience des séries de robots, il fait guest animator depuis des années sur Super Robot Taisen les jeux, mais c’est la physique distanciée et distinguée des seins de Mai Shiranui qui l’a rendu célèbre. Et ça, SRT OG The Inspector, ils ne s’en privent pas. En fait, quand le parti pris est comique/référentiel, ça passe. Mais là, c’est vraiment bizarre, tous ces personnages qui se prennent tellement au sérieux et en même temps, ces nanas pilotes barely legal qui font niah et wohow en regard caméra avant de balancer une plâtrée de missiles. Sérieusement, c’est si peu subtil que c’est le genre de truc qui me fait sortir instantanément du show. Mais quand c’est dans le générique de fin avec full cast en maillots de bain, je m’en fiche. Si ça pouvait se limiter qu’à ça…
Le problème, vraiment, c’est le fanservice moderne qui se force littéralement à placer un clin d’œil intrusif à chaque plan féminin. Je peux citer des dizaines de shows sérieux et néanmoins hypersexuels qui n’ont pas eu besoin de winker leur public de manière gratuite pour être intéressant. Ça donne vraiment l’impression que SRT OG serait une bien meilleure série si elle se donnait la peine de se la jouer droit au but, expurgée de ces conneries. Ou, hypothèse tout aussi plausible, peut-être que je n’ai vraiment pas saisi un truc sur les fondements dôjin rigoureusement indispensables de la série…
Ceci dit, la 3D ne s’intègre pas si mal comparé au pauvre Iron Man même si on se demande parfois si le studio ne ferait pas mieux de faire un choix au tout début de la chaine de production. En tout cas, le début en mode “fanzine d’Eva” fonctionne vraiment bien et les robots sont vraiment bien animés (hé, le premier épisode, normalement, ils y foutent l’équivalent du PIB de la Suisse avant de baisser le budget dès le deuxième). Ça peut devenir une bonne série mais il y a quand même un problème de ton entre tous ces personnages qui n’ont pas plus d’une minute à l’écran pour rappeler qu’ils existent. Et puis une pensée pour les newbies : même le héros Kyosuke (très loin d’être mon choix perso), une fois l’épisode fini, y’a pas moyen de comprendre qui il est, pourquoi il est là. Ni qui sont ces gens ni pourquoi ces robots différents. Comme si le fait d’avoir un titre un peu long (encore une fois : Super Robot Taisen Original Generation : The Inspector) dédouanait le staff de faire des présentations. Du ready-made pour fans mais il y a un méchant besoin de développer les persos dans le futur pour leur donner un peu de tridimensionnalité. Potentiel classe : les robots que laisse espérer le générique.
et demi, pas si mal pour un début.
Pas vu Heroman, la précédente série de Bones (dont le dernier truc vu était Sword of Stranger) mais j’essaye Star Driver plutôt confiant. Je ne sais pas si c’est l’instinct ou simplement parce que c’est la série “du ramdam ambiant”. Le début fait déjà un peu peur avec son héros rachitique soutiré “le beau gosse de l’espace” et qui porte un t-shirt suffisamment court pour laisser apparaître son nombril. Don’t get me wrong, je n’ai rien contre la peau exhibée, étant moi-même un supporter de topless Batman parce qu’il a la classe, Bruce Wayne. Mais quand tu vois le héros monter dans son robot inspiré des carnavals, avec le chapeau à cornes avec une plume dessus, toi le fan de robot, tu es en droit de faire “houla”. Son design est siiiiiii bizarre qu’il n’apparait que quelques secondes durant le générique de début pour pas faire peur aux gens qui ne sont pas au courant que le Japon a officiellement pété un câble. Safe bet, ça vendra moins de maquettes que SRT OG mais l’animation est vraiment soignée, des simples mouvements casuels jusqu’aux katas du n’importe quoi, vraiment du prêt à gifanimer pour une série qui va sans doute se terminer en ballet.
Pas certain de regarder jusqu’au bout, mais je suis intrigué. Et pour une fois que les robots ennemis sont plus réussis que celui du héros…
Un premier épisode à
On finit ce Dans les Dents spécial par la Gainax. Qui a décidé de nous faire un animé où deux filles plus ou moins sexy affrontent un monstre gluant de caca. Sans rire. Panty & Stocking with Garterbelt. La blonde du duo qui se présente comme une “passionnée de sexe” donne le ton de cette série Powerpuff Girls Cul, où l’une enlève sa culotte tandis que l’autre retire ses bas pour les transformer respectivement en gun et en épée. C’est très bizarre de voir ses personnages SD en pleine exhib’ sexuelle mais ça va vraiment tout droit, en laissant assez peu de liberté pour développer de vrais enjeux. Le ton est à la parodie, quoi. Calibré pour les cosplays, on WTF plus souvent qu’on ne rit franchement. Et puis il y a cette transformation qu’on croirait conçue pour être visionnée sur Youtube devant un flot de commentaires subtils de EPIC OF EPICNESS EPIC.
On y voit quand même des scènes pas banales comme… une des héroïnes en train de caguer…
A voir si ça survit sur la longueur. En tout cas, ce qui blaste, c’est la bande-son de ♥Taku¤Takahashi du groupe M Flo que je suis et apprécie depuis quelques années courtesy mon bro @gkpuyo.
Semaine prochaine, retour à la case comics. Même bat-chaîne, même bat-heure.
Super Robot Taisen Alpha 3
Oct 16th
une fin un peu modifiée dont voilà l’original: Un des autres nouveaux venus, mais plus anecdotiques, n’est autre que Virtual On, tiré des jeux d’arcade de Sega. Mais vu que c’est le dernier chapitre d’une longue saga, on verra revenir pas mal de robots “ultimes”, aux scénarios particulièrement apocalyptiques. Ideon, Gunbuster ainsi que la fin de Gaiogaigar, ils feront tous front dans ce wargame long et dur comme le service militaire.
Com-Robot