Séquentialisme
Batman XXX : A Porn Parody, 2ème trailer + Making of (SFW)
May 13th
More porn, les cocos ?
Voici le deuxième trailer de Batman XXX : A Porn Parody. Ouais, fais pas l’innocent, tu vois très bien de quoi j’parle.
A priori, le label veut enchaîner sur Green Hornet, Wonder Woman, Spider-Man etc. Peut-être même qu’il y aura Hulk qui craquera son fût violet.
Et puis comme vous avez été sage, je te balance un peu de la magie de l’internet, la chaîne Youtube de la guilde des demoiselles, avec 3 vidéos de making of. Distingirls. Même Bat-chaîne, même bat-heure.
New “Dans les dents” Robotics, go !
May 8th
C’est le retour des…
Gauff, oui, parfaitement.
Le pick de la semaine, c’est évidemment Batman And Robin qui termine sa première boucle annuelle. Prends ça, Robin.
Ce que tu dois savoir : Bruce Wayne est mort (pas pour longtemps). Dick Grayson (ex-Robin, ex-Nightwing) reprend le flambeau (pas pour longtemps non plus). Son nouveau Robin est Damian Wayne (le fils de Bruce et fruit de l’union avec Talia (la fille de Ra’s Al Gul, qui lui avait fait boire la drogue du violeur. Looong story tout ça). Damian déteste Dick au moins autant que je hais Christophe Maé. Mais ils font équipe quand même. Les deux arcs de ses derniers numéros suivant se sont révélés aussi inestimables que les précédents, pourtant remplis de pièges creepy et de coups dans les dents.
Feel the goodnest, les mecs :
Dans Blackest Knight (num de 6 à 9), Dick se met en tête de ressusciter Bruce en le plongeant dans un Lazarus Pit. Normal quoi, la mort, finalement, ça passe comme une tendinite dans les comics. Mais Dick se fait flouer. Le corps qu’il plonge est celui d’un clone sans âme, un duplicata loupé. Forcément, sans la psyché psychotique de Bruce, ce Bat-pantin ne pouvait que devenir fou. Bat-fight à venir. Ow, il y a aussi BatWoman en guest, la nouvelle héroïne juive et lesbienne odieusement cool. DC l’aime à tel point qu’elle va avoir son propre titre. Mortellement blessée, elle préfère crever par overdose que de vivre avec ses blessures. Sans déconner.
L’arc suivant (10 à 12) se résume à son titre : Batman Vs Robin. Classy. Bruce Wayne n’est peut-être pas mort, mais simplement chrono-exilé. S’il était malin, il aurait laissé des indices à ses amis dans le manoir Wayne ? Attendez-voir… Ah, c’est bien ce qu’il fait.
Ce qui est génial dans un comics écrit par Grant Morrison, c’est que tout y est tendu, affuté, jusqu’à l’impensable. L’absurde n’est jamais très loin, mais ça passe, même le côté “En route pour l’aventure” à récupérer des indices dans la batcave. On mélange magie, technoblabla, action avec des grands moments de panache, comme Damian qui répond à sa mère.
Totalement Airwolf, recommandé avec passion.
Pas vraiment recommandé car en cours de route :
Second Coming. Part 6 (dans Uncanny X-men 524) qui vient de sortir. Je vais résumer encore plus vite que Batman. Phrases courtes, pas de guillemets, pas de parenthèses. Les mutants, 200 à tout casser, sont en voie d’extinction. Ils vivent sur Utopia, une île au large de San Francisco. Une fille nait un jour, mutante. Le miracle. Beaucoup de bastons. Cyclops la confie à son fils Nathan/Cable qui l’emmène avec lui tuer le temps. 24 numéros plus tard de courses-poursuites, les revoilà. Second Coming commence là. La fille, Hope, est maintenant une ado. Tout le monde veut sa peau.
Un cross-over aussi prévisible que le JT de Pernault : ça court à droite-à gauche, courses-poursuites etc. Et à un moment, un X-Man historique meurt. Première fois pour lui. Je sais bien que la mort passe plus vite qu’une rhinopharyngite chez les X-Men (voir plus haut), mais tout cross-over qui se respecte se doit de clouer un de ses héros. Wolverine est furax, comme d’hab. Un peu trop même. S’il y a bien un mec qui comprend qui devrait comprendre qu’il faut se sacrifier pour la cause c’est lui et Michel Rocard.
Malgré ce détail, Matt Fraction nous offre de si typiques petits moments dont il a le secret. Comme Cable qui interdit à Hope de parler au vieux Magneto allongé dans l’infirmerie. Ou encore ça :
Prévisible donc. Normalement si tout va bien, la Phoenix Force devrait surgir pour sauver la race mutante avant la fin des 14 chapitres (plus les limited series). Ca permettrait ainsi de remettre un peu d’ordre dans les titres X, un beau bordel à comprendre et à suivre. Pas de focus, pas de vista, ils sont un peu à la dérive dans le catalogue Marvel, se contentant de quelques petits éclairs de coolitude.
Aussi, Astonishing Spider-Man & Wolverine. Même principe que All Stars chez DC, une aventure lisible par n’importe qui. Pas d’historique méga long à comprendre, pas de continuité. C’est juste Spider-Man et Wolverine coincés et déprimés, en pleine préhistoire, à cause de diamants magiques (…). Normalement, ça devrait finir avec des dinosaures robots ou des ninjas cyborgs. Classico, fun ride et dessins fantastiques d’Adam Kubert.
Pour rester de bonne humeur, je me garde Brightest Day pour la semaine prochaine.
Cover la plus cute de l’année de la semaine:
Terminons avec le pick of the Week magique.
One shot. Hellboy in Mexico. C’est simple, à l’intérieur, il y a tout ce que tu dois aimer dans la vie. Mais le pitch vaut son pesant de cacahuètes. Admirez la musicalité des mots.
“During the 1950s, Hellboy caravans across Mexico with a trio of vampire-killing luchadores, finding the undead; evil turkeys; a terrible bat god; and a little too much tequila.”
Hellboy avec des luchadores tueurs de vampires. Comme un poème.
C’est tout pour cette semaine, vouuuush.
Batman XXX : A Porn Parody
May 5th
Oké les loulous, voici le trailer de Batman XXX : A Porn Parody. Ca y est, j’ai votre attention ?
Quelques mots quand même, il est totalement SFW. Pas besoin de cliquer vite aif’ avant le patron se ramène. D’habitude, je suis pas spécialement fan de parodies XXX qui doivent exister par paquets de 12. Surtout si c’est pour tomber sur du fanfic gay Batman&Robin.
Mais ce pastiche-là a l’air d’être réussi. Plus que ça : il donne l’impression d’avoir plus de budget que dans la série originale.
In memoriam
Regardez encore le trailer du Batman XXX. Cette Batmobile de ouf reconstituée avec classe, ces costards soignés et pas des copies de carnaval nazes avec marqué “BATMAN” sur le front. Ca respecte même les codes visuels un peu warholien de la série des années 60.
Bon, si vous insistez, bientôt une critique sur Robotics. Mais seulement parce que c’est Batman.
Edit: en attendant, deuxième trailer + making of
Marvel VS Capcom 3 wish list
Apr 21st
Hier, annonce officielle de Marvel Vs Capcom 3
Ce n’est pas un hasard si Hulk, Wolverine et Iron Man sont les premiers persos dévoilés de Marvel Vs Capcom 3. Bonjour l’originalité. Chacun ses films, maxi-promo. Du coup, s’enchainera le défilé de l’évidence de Spider-Man, Captain America, l’original, revenu à la vie en comics (la mort, ce difficile passage à vide…) tous bientôt Hollywoodisé. Thor, pareil, réalisé par Keneth Branagh. Oui, le mec de Henry V. Voici donc mon line up rêvé et argumenté. Voici ce que je voudrais trouver dans Marvel Vs Capcom 3.
Cyclops est redevenu majeur dans le monde Marvel, prenant la tête de toute la race mutante en voie d’extinction. Il fait des choix, il serre les dents et va menacer ses ennemis à bord d’un jet pack. Le perso est déjà fait, il n’y aurait rien à faire. Et aussi vrai que je prenais un plaisir de môme à faire des mégas optic blasts aériens… j’aimerai lui ajouter White Queen. Emma Frost. La salope, l’anglaise cruelle qui peut se transformer en ce que préfèrent les femmes, le diamant. She’s her own best friend. En plus, cette liste manque de filles.
Cable. a.k.a Nathan Christopher Summers alias Soldier X, Traveller ou encore Askani’son. Le brawler ultime de MvC2. Mon pet character, l’incarnation des années 90, gros guns, épaulettes et petites poches partout pour y mettre des armes. Plus son bras cyborg. The badass. Quand tu le choisis, tu n’es plus un joueur mais un soldat.
Nightcrawler. Même s’il a toutes les chances de mourir dans le cross-over Second Coming (en vente en ce moment, ouais il n’est jamais mort, c’est peut-être son tour, là), son pouvoir de téléportation en rafale ferait merveille, les patterns de combo sont déjà ready to go.
Moon Knight. Les mauvaises langues diront que c’est un ripoff de Batman en blanc. Ils auront raison. Mais en plus de se battre comme un bat-ninja, Marc Spector est un fils de rabbin investi par Khonshu, un dieu de l’Ancienne Egypte. Smells like quota spirit, les mecs.
Luke Cage. Alias Power Fist, l’homme quota bis, le mec à qui Nicolas a bikrav’ le nom de famille pour faire carrière au ciné. Un Brawler type. Désolé Hercules, Arès, Thing, les autres mammouths, je vous mets en DLC pour 10 €.
Iron Fist. Luke ne serait rien sans Iron Fist, son meilleur pote. Sorry fan-favourite Deadpool, si c’est pour se la jouer American Ninja, je vote pour un mec expert en coup de pied sauté, en costard vert-jaune, s’appelant Daniel et qui parle tibétain couramment. Seul désavantage par rapport à Daredevil, il choppe moins. De nanas, hein, je parle pas de projections, là.
Havok. Call me fanboy, mais Havok est juste ce qui est arrivé de mieux en 40 ans d’histoire des X-Men. Son pouvoir? Le même que son frère Cyclops, des rayons par les mains. Ah son costume. Neal Adams dans la place. Slick, noir, racé. Mon uniforme préféré de tout Marvel ever. Il y aurait vraiment quelque chose de beau à faire avec ces putains de cercles d’énergie.
Black Knight. Le dernier Black Knight en date est un agent du Vatican, pas le genre à qui tu f’rais confiance en ce moment. Non, je parle du héros, le 3ème Dane Whitman. Il utilise une épée filée par Merlin. J’ai tant envie qu’il embroche tout les personnages de Sonic The Hedgehog avec.
Fantomex est ce qui s’est fait de mieux dans le run de Morrison au début des années 2000’s. Merde, c’est ptet’ même ce qui s’est fait de mieux en mainstream tout court. Une gueule de cosmo-ninja, Jean-Phillipe (il se fait passer pour un français, car ça fait plus “genre”) s’appellerait en fait Charlie-Cluster 7 et aurait deux cerveaux, deux de plus que Frédéric Lefebvre. Oh et quand il ne trucide pas tout le monde au gunfight, une soucoupe volante baptisée E.V.A. lui sort de la bouche. Capcom, je veux ce perso, c’est un ordre ! Il pourrait être un héros à lui tout seul. Fantomex VS Capcom !
Il fallait des Némésis. J’ai une tendresse infinie pour Sandman et son aspect visuel superbe. C’est un des rares du silver age qui tienne encore la route… je veux dire… Vulture, c’est juste un très vieux papy chauve avec des ailes. Octopus a l’air bête. Mystério est… curieux ? Bref, je veux bien récupérer Mag’fuckn’nneeto avec qui je suis imbattable. Mais je vais lui préférer… Modok. Une tête immense, des petits bras, des petits pieds, le caractère de Mélanchon… Il est juste troooop cute et terrifiant à la fois.
Passons au maitre des lieux, Capcom.
Edgeworth. Phoenix Wright serait à priori le perso naturel vu sa popularité mais, problème, on ne l’a jamais vu marcher. Alors quoi, on fait un pauvre keum qui bouge en même temps que son bureau ? “Tiens, prends mon tiroir mélaminé dans la gueule!” Non. Prenons plutôt Edgeworth, néo star de son spin-off, à la Angel ou Melrose Place. Top charisme.
Ryu de Breath of Fire V Dragon Quarter. Hop, dans le sac. Pas simplement parce qu’il est le meilleur Ryu des 5 (oui, les héros des Breath of Fire s’appellent Ryu. Plus généralement les héros Capcom sont Ryu). Il a une épée cool et se transforme en dragon. Bon, disons que c’est une histoire de design : il est déjà en gros polygones, on sait ce que ça va donner.
Il faut un mec de Sengoku Basara. Problème, ça fait un bout de temps que je n’y ai touché (juillet, vivement). Du coup, j’emmêle un peu tous les gonz. Donc j’en ai pris un au hasard là-dessus. Keiji Maeda. Parce qu’une épée ridiculement grande, ça passe dans le Capcom-verse.
Vous voyez, les mecs, les femmes-chats, c’était hype dans les années 90. “Felicia”, ok, admettons. Mais depuis, les femmes-chats, c’est devenu le personnage iconographique de la japanim’, celle qu’on te colle dans le moindre dessin animé quand t’as lâché toutes tes cartouches d’imagination. “Niah” te fait-elle en gagnant. Alors si c’est pour piocher dans Darkstalkers, il y a plus classe. Genre des loups-garous. Qui balancent leur pattes en l’air pour faire des shoryu. QUI FONT DU NUNCHAKU. Face it, Capcom, les gens veulent Gallon.
De tout Street Fighter IV, j’opte pour Juri. Juste parce qu’elle a réussi à enclencher une levée de bouclier de la part des netteux racistes du Japon. Bibimpap will prevail.
Arthur serait l’ajout logique, mais tant qu’à jouer les B-lister, optons pour Red Arremer, enfin Firebrand, le streum de Gargoyle’s Quest. Je l’adore.
Capcom, on continue. Pour faire équipe avec Edgeworth, quoi de mieux que Shun, le kabu trader. Etre trader, c’est trop la classe. C’est un peu le job que fait Alice en quittant le pays des merveilles version Burton, elle veut se lancer dans l’import-export et exploiter des chinois. I kid you not. Du coup, faut un trader, puisque Marvel, c’est Disney et Disney, c’est le joyeux monde de l’actionnariat. Et quoi de mieux que Shun qui level-up en vendant les actions au bon moment, genre British Airways et Air France y’a 2 semaines c’était le bon moment. Moralité, le capitalisme is life. Merci Tim.
Les meilleurs persos de la Rival School, c’est les profs. A Justice Gakuen, on ne se plaint pas d’un manque de moyens, on cogne les mômes. C’est “Le grand frère” qui puise dans Super Nanny. J’aime assez Hideo, prof de japonais, mais le top, c’est Hayato Nekketsu (un nom de famille prédestiné). Totalement airwolf, son wikipedia sonne comme du Ronsard : he seems to love corporal punishment as his main weapon is a kendo sword that he hits opponents with. Entre ici dans ta demeure, Hayato, tu es ici chez toi.
Mike Haggar. Un maire en bretelles qui distribue des mandales. Prends en de la graine, Delanoë.
Et pour finir, une licence (étonnamment) restée dans les tiroirs de Capcom. 1996 en France, c’était le premier épisode de Sous le soleil. Au Japon, la mode était à la coprod. Sega avait filé plein de gros sous pour Evangelion. Jalmince de ce succès, la firme a utilisé toutes ses ressources en direction d’acteurs (remember Resident Evil premier du nom) pour produire avec la Tôhô Shichiseitôshin Guyferd. Le héros y fait du cosmo-karaté élémentaire après avoir choppé un virus au Péru. Guyferd est LE sentai de Capcom, rien qu’à eux. Wouhou. Peu après, ils filmèrent l’intro de Resident Evil premier du nom avec des acteurs et bizarrement ils n’ont plus jamais touché à une caméra. Allons, s’ils nous ont bien sorti Soki de l’Onimusha Dawn of Dreams, ils sont capables de tout.
Hep ! Capcom ! Appelle-moi !
2012
Nov 19th
Après 2012, on a comme un doute. J’ai perdu le compte de toutes les fois où Emmerich a détruit les USA, sa Maison blanche et ses monuments. Finalement, ce mec, il a juste besoin d’un plugin tous les deux, trois ans pour nous ressortir le même film ou une side story du précédent. Je tiens Day After Tomorrow pour film crypto-gauchiste, où ce qu’il reste de l’Amérique finit par migrer au Mexique comme des sans-papiers. Mais le cas Emmerich est intéressant. Comment Hollywood a pu laisser ce teuton, gay et vaguement gaucho, faire des films qui flirtent si facilement avec le facho. Remember The Patriot avec le très modéré Mel Gibson. Ici, c’est la famille, l’ultime arche de la survie. Chacun y trouve un peu ce qu’il veut.
Dans le film catastrophe 4.0 d’aujourd’hui, il y a tout. Le discours du Président, l’animal qui a la vie sauve, le clodo, le couple divorcé qui se recompose, le conspirationniste amoureux des extra-terrestres du jugement dernier. Tout. La checklist est remplie.
Les neutrinos, c’est taquin. Ils se regroupent comme la poussière autour d’une PlayStation 3 et se changent en micro-onde. Trop bête. Après quelques explications du même acabit, on obtient des Tsunamis de 2000 mètres de hauteur. Et en toile de fond, un roman nul écrit par Jackson, le perso de John Cusack, dont l’histoire s’abreuve et nous livre quelques quotes affreuses. Heureusement, les neutrinos vont remettre ensemble Jackson et Amanda Peet, la MILF du film. Emmerich, what else.
Le problème, c’est que j’aime le film catastrophe. Comme un film de samouraï. Aussi vrai qu’Airwolf incarne la classe internationale, le plus jouissif, c’est quand tout se casse. Les bagnoles, les avions, les immeubles, les armures de combat. Bon sang, sur tous les épisodes nuls de M.A.S.K, mon préféré est le seul où l’on voit un jour la caisse du héros s’exploser comme une merde.
Rien à foutre des blagues de ruskofs (plus ils sont nazes et plus ça marche). On se fiche aussi complètement de la carrière de John Cusack. Une expression en stock, take a look.
Je suis un déclinologue, un vrai Comme le disait Villepin. Qui aime quand le porte-avion vient s’encastrer dans le gratte-ciel. Emmerich a tout compris, il refait son trip cynique. Faut juste arriver à fermer les yeux sur les éléments relous qui peuvent déplaire. Toujours plus de casses, des mégatonnes de destruction avec plus ou moins de réussite. 2012 s’invente un nouveau genre, le Gonzo-Catastrophe.
sur 5
Com-Robot